Ô Soul Calibur IV, tu me hantes

Ô Soul Calibur IV, tu me hantes
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Alors celui-là, il est attendu au portillon, le coquin. Soul Calibur IV, le déjà culte, celui qui fait découvrir chaque jour à quelques adolescent pubères les joies des montées hormonales, oui, celui-là. Bah voilà, il s'affiche, le bougre, et il est toujours aussi beau, les seins n'ont jamais aussi bien été modélisés, tout comme les petites culottes. Un spectacle que Mitsurugi n'est pas prêt d'oublier si l'on en croit la dernière image où le maître épéiste ne prend même pas la peine de masquer son regard dirigé vers l'attribut vaginal de la donzelle. Damned.

09 novembre 2007 à 17h36

Par Dudy

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