Il y a des jeux qui ont besoin d’être appréhendés un petit moment avant de libérer pleinement leur potentiel. Des jeux qui au premier abord vous paraissent assez communs, pour au bout de deux heures vous exploser au visage sans prévenir, comme une évidence, une révélation. Metro Last Light est de ce pédigré ; pas parfait, pas lisse, mais terriblement efficace.
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