Article du 07/09/2016
Aux nombreuses casseroles que traîne désormais la navette du Grand Procédural, Starbound répond par le pouvoir laissé au joueur, celui d'agir sur le monde, de façonner son aventure et de laisser sa marque. Mais son absurdité presque enfantine lui permet également de livrer une vision de l'espace toute personnelle, faite d'animaux tueurs beaucoup trop mignons, de forêts de pâquerettes roses fuchsia, de sectes démonistes, d'armes toujours plus crétines et de civilisations loufoques mais richement documentées. Et la prétendue infinité des mondes n'a ici valeur ni de cache-misère, ni de véritable argument, puisque Starbound ne les brandit jamais comme une réponse à tout. Mieux, le titre ne s’en sert que de cadres où planquer des activités par dizaines. Suivre la quête...
Lire l'article
Lire l'article
