Tout d’abord, si vous n’avez pas lu le test de
Geronimo Stilton : Le Royaume de la Fantaisie, vous êtes invités à le faire tout de suite, ce nouvel opus baptisé
Retour au Royaume de la Fantaisie proposant grosso modo la même chose. Évidemment, l’histoire est ici quelque peu différente. On retrouve donc notre héros, une souris rédactrice en chef du journal l’Echo des Rongeurs, dans le restaurant de son cousin. Ce dernier lui a proposé de battre le record du monde de plats au spaghettis au gruyère enfournés pendant un repas. Souffrant par la suite d’indigestion, le pauvre Geronimo parvient tant bien que mal à s’endormir avant d’être emporté par son ami le dragon arc-en-ciel dans le Royaume de la Fantaisie. Là-bas, la reine des fées va l’implorer de retrouver les sept Cœurs du Bonheur. Le rongeur va donc partir une nouvelle fois à l’aventure, cette fois-ci accompagné de quelques amis formant « La Compagnie du Bonheur », qui lui fera traverser des mondes variés, comme celui des jouets ou des desserts. Et pour la petite histoire, Geronimo a réussi à engouffrer plus de 100 assiettes de spaghettis, rien que ça.
My mouse is rich
Avec ce nouveau titre, nos chères petites têtes blondes pourront résoudre soixante casse-têtes. Une fois le jeu fini, deux nouveaux mini-jeux sont ajoutés, dont un est jouable à deux puisqu’il s’agit d’une version de
Pong haute en couleurs. D’ailleurs, de nombreuses épreuves sont des clins d’œil à d’autres titres bien connus, comme le casse-brique ou encore
Tetris. Quant aux autres, ils sont toujours plus variés, certains faisant appel aux réflexes, d’autres à la mémoire, d’autres à la culture général, d’autres encore à la dextérité du joueur. Bref, il y a de quoi faire. La difficulté est variable, mais les casse-têtes les plus difficiles ne sont pas non plus insurmontables, d’autant plus qu’un système d’aide et là pour donner un petit coup de pouce. On regrettera en revanche les phases de plates-formes que les développeurs ont cru bon de rajouter : il est ainsi possible de temps à autres de diriger Geronimo dans des décors tout en 2D, d’éviter des objets et de sauter sur des plates-formes mouvantes. Heureusement, ces phases restent anecdotiques, et encore heureux vu la gestion calamiteuse des sauts. Le doublage français est toujours de qualité, les décors jolis et colorés, les animations presque dignes d’un dessin-animé et les musiques agréables.