Rekt est une marque de sièges de gamers lancée par l'animateur vedette de
Game One Julien Tellouck, ainsi que d'autres gamers. La principale force de vente de ces sièges est d'ailleurs qu'ils sont conçus par des joueurs, pour des joueurs, justement. Mais est-ce que les joueurs savent vraiment ce qui est bon pour eux ? C'est ce que nous allons vérifier en troquant notre siège traditionnel de bureau qui, il y a 2 ans, nous avait coûté 200 euros, pour le
BG1 White que
Rekt a eu l'amabilité de nous envoyer.
Tout d'abord, un mot sur le montage. C'est un colis plutôt imposant de très précisément 23 kg qui s'est présenté à notre porte. Et malgré une prédisposition absolument inexistante à toutes sortes de travaux manuels, il s'est écoulé moins de 30 minutes entre l'ouverture du colis et l'atterrissage de mon royal fessier sur le siège. Un bon premier point, donc, car les gamers ne sont pas nécessairement bien bricoleurs.
La matière utilisée pour la sellerie est un simili-cuir, ce qui, au-delà de la qualité manifeste de fabrication, offre la satisfaction qu'aucune vache n'a été sacrifiée sur l'autel de la mode. Oui, c'est important pour moi. La BG1 est une assise hybride entre chaise de gamer et de travail, ce qui correspond parfaitement à mon besoin personnel de joueur ET de bosseur de bureau. La BG1 propose deux petits coussins : l'un pour les lombaires et l'autre pour la nuque. C'est très agréable en réalité, d'autant que ces derniers sont réglables et permettent de s'adapter donc à toutes les morphologies.
L'assise est basculable à 30°, ce qui est très bizarre la première fois où l'on s'assoit puisqu'on a l'impression de basculer en avant. Mais une fois bien calé au fond du siège, on s'aperçoit que c'est très pratique pour ramasser son stylo, par exemple. Le dossier, lui, s'allonge sur 180° et permet donc de littéralement s'allonger. Avons-nous besoin de rappeler que la position couchée, c'est quand même ultra chouette pour se reposer ? Enfin, les vérins permettent de soutenir un poids de 136kg, ce qui va me permettre de continuer à me goinfrer de burgers un moment devant la télé avant que le siège ne cède sous mon poids.