Catherine, c’est un peu l’ovni de ce début d’année. Le jeu que l’on suivait avec curiosité en raison de ses trailers aguicheurs, mais que l’on pensait léger, gentiment érotique et surtout réservé à l’archipel nippon. Et bien non, trois fois non, on se plantait sur toute la ligne depuis le début. Catherine, ce n’est pas un jeu qu’on finit vite et que l’on oublie après comme un vulgaire coup d’un soir : c’est un soft qui se savoure et qui donne tout de même à réfléchir.
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