OlliOlli World : que vaut le DLC Finding the Flowzone ?

L’entrée du DLC se trouve sur la carte du monde, via un bateau volant, parce que oui, la Flowzone se trouve dans les cieux. La nouvelle mécanique n’est autre que l’apparition de courants d’air porteurs à travers les environnements, ce qui vous redirigera lorsque vous planez dans les airs et permet ainsi encore plus d’imbrications aux différents chemins dans les niveaux. Ce DLC vous emmène donc dans les cieux, juste au-dessus de la carte principale où les zones ont été divisées en plusieurs types de nuages (stratus, cirrus, cumulus…). Vous aurez ainsi trois niveaux par zone et, dans chaque niveau, trois morceaux de cartes à récupérer. La carte déchirée n’est autre que votre guide vers Radlantis, la zone ultime où se posent tranquillement divers dieux du grind et du ollie et vous attendent pour disputer l’ultime épreuve qui vous donnera le statut de dieu du skate. Les zones se débloquent au fur et à mesure que vous arriverez à ramasser des morceaux de carte dans les niveaux. Ils sont effectivement bien cachés et demandent de l’entraînement et un certain niveau de dextérité pour tous les trouver.

Comme précédemment évoqué, la nouvelle mécanique de vent permet d’ajouter une couche de subtilité dans la construction des niveaux puisqu’en plus de vous donner une poussée vers l’avant, ces vents peuvent vous faire grimper dans les airs ou, au contraire, d’un coup vous faire rebrousser chemin sur le niveau. Cela nécessite donc un peu d’entraînement et, surtout, vous prépare à grinder car c’est principalement sur cette mécanique de jeu que repose la difficulté des différents niveaux. Le DLC se plie en 2h en ligne droite, mais libre à vous de continuer de chercher tous les morceaux de carte ou encore de participer aux défis de Gail Force qui seront disponibles après avoir terminé le DLC et qui vous donneront accès à de nouvelles pièces d’équipements.

À la manière de VOID Riders, Finding the Flowzone est une addition chouette au contenu de base d’OlliOlli World. Il permet de savourer quelques niveaux supplémentaires à la construction savamment réfléchie et permet de casser une forme de répétitivité en introduisant une nouvelle mécanique de ride. C’est court, mais c’est bon.