L'affaire avait fait grand bruit à l'époque, et pour cause au vu des révélations de
Libération : plusieurs cadres de chez
Ubisoft étaient accusés de harcèlement (moral et sexuel) et de bien d'autres trucs particulièrement dégueulasses. Le pôle éditorial était particulièrement touché avec la complicité de divers responsables et autres ressources humaines.
Trois gros noms sont ressortis, à savoir Serge Hascoët, Tommy François et Guillaume Patrux, tous trois devant faire face à la justice. Mais la justice attendra finalement encore un peu : alors que le procès devait débuter hier (10 mars), le voilà repoussé au moins de juin prochain. La demande provient des avocats de la défense et de la partie civile qui se plaignent d'avoir reçu trop tardivement le dossier, et de façon incomplète.
En attendant, tout ce petit monde est présumé innocent.