En poursuivant votre navigation sur notre site, vous acceptez l'installation et l'utilisation de cookies sur votre poste, notamment à des fins promotionnelles et/ou publicitaires, dans le respect de notre politique de protection de votre vie privée.
Preview :
Disaster Report 4 : Summer Memories - PC
En ce début d’année, NIS America est passé en France pour nous présenter ses prochains titres. Parmi eux se trouvait Disaster Report 4, un jeu catastrophe dans lequel vous devrez survivre à un tremblement de terre. Nous avons pu le tester, manette en mains, et voici ce que nous en avons pensé.
Nous avons pu tester les début de jeu, à commencer par la création de votre avatar. Celle-ci est très sommaire : vous choisissez son sexe, son visage, sa coupe/couleur de cheveux, et c’est tout. Une petite séquence en voix-off vient ensuite. Celle-ci vous posera des questions à choix multiples pour définir des traits de caractère. Seulement, nous n’avons pas pu tester l’influence des réponses sur le déroulé de l’aventure. Il ne faudra pas s’attendre à des changements radicaux en fonction de vos réponses.
Le titre débute alors que vous êtes dans le bus. Un tremblement de terre frappant soudainement la ville, l’autocar se renverse. Et, comme tous les habitants de la ville, vous devrez tout faire pour survivre. Le premier contact avec le jeu pique un peu les yeux. De part sa réalisation datée, le titre donne parfois l’impression de tourner sur PS3, seule la distance d’affichage et la quantité d’éléments à l’écran venant trahir le fait que nous sommes sur PS4. Ceci étant dit, voir un immeuble s’effondrer juste devant soi reste franchement impressionnant.
Ce début d’aventure proposait un mini-scénario consistant à aider une professeure à retrouver ses élèves. Sans grande prétention, cette première quête fait office de mise en bouche avant d’attaquer le gros morceau du jeu, mais il donne déjà une bonne idée du déroulé du jeu dans sa globalité. Si les cut-scenes sont toujours les bienvenues pour présenter les divers PNJ et donner un contexte à nos actions, les freezes et autres temps de chargement les précédant démontrent un manque d’optimisation flagrant. Le titre étant prévu pour avril, nous espérons que les développeurs auront le temps de corriger cela.
En revanche, il est improbable qu’ils aient le temps de corriger le gros défaut constaté sur cette première partie de l’aventure : son rythme beaucoup trop haché. En effet, sur cette demi-heure de jeu, notre progression fut interrompue un grand nombre de fois, que cela soit par les cinématiques, dont nous avons déjà parlé, ou par des choix à faire parfaitement inutiles. Par exemple, lors d’une séquence tendue où nous devions pousser une camionnette afin d’échapper à un incendie, voici la liste des actions proposées : pousser fort, pousser fort en pensant à nos regrets, pousser fort en pensant à nos envies, à nos familles, à rien. Ces choix menant tous à la même conclusion, pourquoi les proposer ? Cela ne fait que nuire au rythme du jeu.
Ce premier contact avec Disaster Report 4 ne fut pas vraiment convaincant. Si l’on peut aisément passer outre l’aspect technique du titre, son rythme massacré par des choix de game-design douteux est plus gênant. Mais nous n’avons vu que les trente premières minutes du jeu. Et l’idée de base du jeu étant intéressante, nous espérons que cela s’améliore par la suite. Nous serons fixés en avril.
Davantage ours que savant, ce con n'a pas compris que l'hibernation c'est en hiver. Résultat, il reste cloitré dans sa grotte à longueur d'année. Ce qui arrange bien du monde. Mais ce n'est pas un mauvais bougre. Il est même plutôt drôle à l'occasion. C'est souvent à ses dépens mais chut, il faut pas le dire. Ayant été récemment rattrapé par l'eau courante et l'électricité, il est désormais en mesure, après avoir difficilement assimilé les bases de l'hygiène corporelle, de nous livrer tests, news et autres contenus enchanteurs. Il nous reste plus qu'a espérer qu'il ne lui vienne pas l'idée de faire prendre un bain à son PC... Trop tard.