8 ans plus tard, c’est avant tout sur ce dernier point que nous propose de revenir cette version sous-titrée
Leifdrasir, : le système de combat a notamment été revu en profondeur, empruntant beaucoup au dynamisme de ses suites spirituelles (
Muramasa : The Demon Blade et
Dragon’s Crown) et simplifiant certaines lourdeurs qui devenaient dramatiques sur le long terme.
Il n’est ainsi plus nécessaire de passer par un menu pour utiliser les techniques de son personnage, que l’on utilise via des raccourcis manettes, et les phozons flottant dans l’air auront tendance à se diriger automatiquement vers nous, sans manipulation particulière.
Ces exemples mineurs ne sont que les prémices de changements vraiment marquants, qui contribuent à faire du jeu une expérience plus agréable qu’à l’origine.
La version présentée au TGS était par ailleurs sur PS4, et tourne à merveille : finis les ralentis de la version PS2, ici on reste fluide à 60 images par seconde en toutes circonstances, et la présentation en 1080p natif sied à merveille à un titre pourtant pensé et dessiné pour une console en basse définition.