Preview : Prey (2017) - PS4

Prey (2017) - PS4
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Prévu pour le 5 mai prochain, Prey, la dernière production d’Arkane Studios, s’est de nouveaux laissée approcher. Et après une "première" journée de travail mouvementée, on s’aperçoit que Morgan est dans une sacrée merde.

Prey

Cette nouvelle démo se situait environ 2h30 après celle de février dernier. Nous retrouvons donc une Morgane (la démo nous proposait d’incarner la version féminine du héros) mieux équipée, cette dernière ayant eu le temps de trouver quelques armes et neuromods entre temps. Mais cette nouvelle build n’avait pas pour but de simplement nous faire tester des versions plus évoluées des capacités que nous avons vu lors du précédent hands-on. Son objectif principal était de nous dévoiler le psychoscope, un appareil permettant de scanner les ennemis afin de rendre l’apprentissage de leurs pouvoirs possible.

Prey

Ce dernier se présente sous la forme d’un casque à activer le moment venu, ce qui permet de passer en mode scanner. Le but est alors de garder l'alien qui vous intéresse dans votre champ de vision le temps que l’analyse soit terminée. Car, contrairement à l’appareil photo de Bioshock, le psychoscope n’agit pas instantanément. Ce qui est d’autant plus gênant sachant que vous êtes sans défense lorsque vous l’utilisez. Cela poussera sans doute les plus bourrins d’entre nous à considérer les compétences liées à la furtivité, pour une fois.

Il faudra scanner plusieurs fois le même type d’ennemi pour débloquer toutes les compétences qu’il a à offrir. Mais cela en vaut largement la peine, car ces dernières sont puissantes. Nous avons pu tester une boule d’énergie explosive, qui fait cinq fois plus de dégâts que les armes classiques à disposition. Il y a donc de quoi être tenté par ces pouvoirs. Cependant, il y a une contrepartie. En effet, les équipements défensifs, comme les tourelles, programmés pour n’attaquer que les aliens, vont vous prendre pour l’un d’eux si vous développez trop ces capacités. Qui plus est, cela devrait impliquer des complications bien plus graves pour notre protagoniste. Nous verrons comment le titre gère cela, que cela soit en terme de gameplay ou de scénario.

Prey

Cette démo nous également donné un nouvel aperçu du travail qui a été fait sur l’ambiance : sombre, lugubre et oppressante. Prey fait énormément penser à Bioshock de ce point de vue là. Avec une petite touche en plus : la paranoïa. En effet, les typhons pouvant changer de forme, chaque objet du décor peut subitement se réveiller et tenter de vous tuer. Mais cela devient réellement stressant lors de certaines prises de décision. Comme lorsque nous avons trouvé cet homme, enfermé dans sa cellule d’observation. Bien entendu, ce dernier nous suppliait de le laisser sortir, nous promettant une récompense si nous le faisions. Mais est-il réellement humain ? Et nous voilà pour 15 minutes de prise de tête, pour savoir quoi faire.
Si la première démo, en février dernier, nous a convaincu, celle-ci en a rajouté une couche. La paranoïa ambiante, liée à la nature de la menace, fonctionne à merveille. Elle nous offrira des heures de stress. De plus, les contreparties suggérées pour l’utilisation des pouvoirs aliens ont le potentiel pour offrir un gameplay et un scénario intéressants sur la longueur. Autrement dit, c’est un jeu à surveiller de très près.
13 avril 2017 à 14h05

Par pattoune

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pattoune

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Ours savant

Davantage ours que savant, ce con n'a pas compris que l'hibernation c'est en hiver. Résultat, il reste cloitré dans sa grotte à longueur d'année. Ce qui arrange bien du monde. Mais ce n'est pas un mauvais bougre. Il est même plutôt drôle à l'occasion. C'est souvent à ses dépens mais chut, il faut pas le dire. Ayant été récemment rattrapé par l'eau courante et l'électricité, il est désormais en mesure, après avoir difficilement assimilé les bases de l'hygiène corporelle, de nous livrer tests, news et autres contenus enchanteurs. Il nous reste plus qu'a espérer qu'il ne lui vienne pas l'idée de faire prendre un bain à son PC... Trop tard.
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