Vous ne lisez pas ici un test ordinaire. Il s’agit d’un article mûrement réfléchi depuis des années, après cinquante-neuf mois d’attente, très exactement. Vous avez là les lignes les plus objectives qui soient, écrites par un amateur extrême de la saga qui, pourtant, prend son rôle de testeur très au sérieux et s’efforce de ne pas virer dans la vulgaire subjectivité. Vous ne comprenez pas pourquoi les fans ont ragé de telle façon durant toutes ces années ? Revenons là-dessus. Ouais, j’m’en fous si vous comptez uniquement lire l’avis du jeu. On est là pour déblatérer sur le jeu vidéo, non ?
Imaginez que vous aimiez une saga, cette dernière ayant marqué votre enfance et révélé votre amour pour le Dixième Art, et que chaque épisode est d’une telle rareté que chacune des sorties est un événement planétaire à vos yeux. Alors que les mystères sur le scénario vous prennent littéralement en haleine, et que vous réfléchissez chaque jour, chaque nuit à ce qui pourrait les combler, en imaginant quotidiennement la suite de vos rêves, l’éditeur du jeu en question commence doucement à teaser sur le projet en promettant un titre fait sur mesure pour les fans. Jubilation ! Puis, finalement, lors de l’annonce tant attendue, on vous annonce un reboot total, qui n’a plus rien à voir avec ce que vous connaissiez. Fuck les éclaircissements sur l’histoire, fuck votre icône du jeu vidéo, fuck you tout court : «
on change tout, on veut faire du CA$H ». Le seul sentiment qui vous vient est l’humiliation, celle d’avoir été pris pour un mouton. Des années de spéculation foutues en l’air. Il n’y a aucun doute :
Capcom a ici manqué de respect à ses fans de manière majestueuse, et ils s’en souviendront.
Alors certes, comme dans toute population, il y a des décérébrés, et c’est eux que l’on retiendra majoritairement et que l’on prendra comme reflet du groupe en question. Oui, Dante a les cheveux bruns, ressemble à un punk drogué aux hormones et affronte des robots chelous en fumant une cigarette sous des airs de Vincent McDoom, mais ce n’est pas ça que les fans rejettent : ce qu’ils ont vomi, c’est le doigt d’honneur qui leur fut adressé par la société nippone lors de cette annonce. Du moins, les plus sensés d’entre eux, les autres recrachant uniquement et bêtement la déformation violente du symbole vidéoludique qu’est Dante. Comprenez-vous la colère qui s’est emparée de tant de joueurs ? De la déception ultime, la pire imaginée pour un fan d’une licence, quelle qu’elle soit ? C’est CA qui fait mal. Et le plus dur au final, c’est de se dire que l’on ne pourra rien y changer, que
Ninja Theory, le nouveau studio de développement, n’a fait qu’appliquer les ordres de
Capcom et qu’il faudra faire avec. Êtes-vous de ceux qui renient définitivement le changement et se rétractent à toute opposition ou de ceux qui savent vivre avec les défauts que l’on nous objecte afin de les surmonter ? Nous, à
GameHope, on a déjà choisi notre camp.
Sick Smoking Style
La véritable question concernant cet opus était à propos de sa véritable nature : s’agit-il d’un reboot total de la série ou d’une préquelle à
DMC 3 ?
Capcom et
Ninja Theory n’ayant jamais su répondre à la question, se contredisant tour à tour, nous livrent enfin la réponse dans le jeu complet : oui, il s’agit bien d’une refonte presque totale de
Devil May Cry. « Presque », car le background de
DmC garde tout de même certains éléments de la mythologie originelle. Ainsi, Dante et Vergil sont toujours les fils jumeaux de Sparda, le démon ayant trahi son roi Mundus pour une humaine, Eva, qui lui donna les deux hommes que l’on connait. Ah non merde, je rectifie : Eva n’est plus une humaine, mais désormais un Ange. Oui, cette nouvelle race jusqu’alors inconnue de la série fait subitement son apparition et justifie alors le statut d’être extraordinaire des deux frères : ils sont les deux seuls Nephilims restant, hybride d’ange et de démon, tirant leurs atouts de chacune des deux races. C’est donc tout naturellement que Mundus, régnant toujours sur le monde démoniaque et désormais sur le monde humain en contrôlant la première compagnie économique grâce à son avatar humain, cherche à exploser Dante afin d’éliminer la seule menace qui pèse sur lui. Aidé de son frère Vergil et de l’Ordre, une organisation contrôlée par ce dernier dont le but est de libérer les humains de l’emprise des Démons, Dante apprend alors à se connaître lui-même ainsi que le monde qui l’entoure : en effet, à l’âge de sept ans, le chasseur de démons tout comme son frère ont vu leur mémoire effacée mystérieusement, suite à l’assassinat de leur mère par l’Empereur Démoniaque. Un traumatisme qui suivra Dante tout au long du jeu et lors de l’acceptation de ses pouvoirs diaboliques.
En soi, la trame est très représentative des précédents jeux de
Ninja Theory (
Heavenly Sword,
Enslaved) : (très) simple, pas formidablement recherchée, elle se veut néanmoins maquillée par une mise en scène et une narration de bien bonne qualité. Les cinématiques sont moins présentes que dans
DMC 4 et se veulent plus cohérentes, malgré certains passages too-much. L’écriture est moins touchante qu’un
Heavenly Sword et l’impact moins percutant, mais il n’empêche que l’avènement de Dante face à Mundus, qui signe enfin son grand retour, fait furieusement monter la pression jusqu’à un final explosif, prévisible certes, mais qui a le mérite de faire plaisir aux fans et d’offrir à certains joueurs une certaine jubilation. On est certes loin de la claque du combat contre Mundus du premier épisode de la série, mais qu’importe : le scénario a beau ne pas être très complexe, l’écriture est plutôt soignée comme l’on pouvait s’y attendre. Malheureusement,
Capcom a décidé à l’instar de son
Resident Evil 6 d’installer une VF très, très inégale. Si en soi l’idée de mettre des voix françaises à un
DMC est… une hérésie de premier choix (!!!),
Ninja Theory aurait au moins pu tenter d’amortir le choc : entre des voix clichées, une synchronisation labiale à gerber et des passages où la bande-son prend le dessus sur les paroles et nous force alors à activer les sous-titres, on aura vite fait de mettre sa console en anglais pour profiter de doublages, eux, de très bonne qualité. On regrettera donc l’absence d’une option VOSTFR, qui aurait été furieusement utile pour profiter du son original tout en appréciant la langue de Molière.
Je vais te dévisser la tête, pisser dans ton cou, et chier sur ton cadavre de MEEEEEERDE
Vous l’aurez compris,
DmC diffère également de ses prédécesseurs par ses dialogues violents. Pour la première fois dans la série, nous avons des gros mots insérés dans des répliques franchement balèzes, que certains ne trouveront pas forcément nécessaires mais participant à l’intention de changer de la saga. Ces dialogues permettent en revanche de mieux travailler certains personnages : Kat par exemple, malgré son aspect ultra-classique, s’avère plus exploitée que prévue. Vergil se retrouve dans le même cas, même si l’on n'a toujours pas compris pourquoi il hack des ordinateurs et tire sur ses cibles au fusil d’assaut. Mundus se veut terriblement terrifiant et chacune de ses apparitions nous fait redouter l’affrontement entre lui et Dante, qui sera à tous les coups l’un des plus gros clashs du jeu. Si certains prota/antagonistes sont réussis, d’autres sont en revanche totalement passés à la trappe. Sparda pour ne citer que lui, apparait ici sur quelques clichés ridicules où l’on peut le voir de dos, en chemise à carreaux, pas costaud pour un sou et s’apparentant plus à un lover qu’au puissant Légendaire Chevalier Sombre que l’on connaissait. Peut-être un sort meilleur lui sera réservé pour le prochain opus… Dans tous les cas, on appréciera la classe de Dante, représentée sous un tout autre style il est vrai, ainsi que celle de son concurrent principal.
Continuons sur le character design en enchaînant sur les ennemis qui, eux, représentent l'une des parties finalement les plus importantes du titre. Qu’on se le dise,
Ninja Theory a toujours eu du mal avec les méchants, et cela se ressent plus que jamais dans
DmC Devil May Cry. Si les ennemis de base ont un design sympathique, ils intègrent un bestiaire assez pauvre qui n’aura bientôt plus de secrets pour vous tant rencontrer les mêmes ennemis est récurrent. On se reposera alors sur un gameplay bien huilé, sur lequel nous reviendrons plus tard, pour ne pas sombrer dans la lassitude. Fort heureusement, cinq boss sont à affronter au cours de l’aventure, mais là encore, on est loin d’un
Devil May Cry classique (excepté le
2, bien entendu). Si la mise en scène est réussie et le combat globalement très explosif, l’aspect de ces grosses bestioles est très discutable et pas toujours de très bon goût. On peut prendre pour exemple la Succube, l’ennemi de la démo téléchargeable, qui insulte à tout va, vomit constamment et ressemble à une larve géante dont les verrues auraient trouvé la peau très agréable pour une habitation à long terme. Bref, c’est loin d’être dramatique, il est vrai, mais ce n’est pas du
DMC… Enfin ça, on le savait déjà.
We don’t fuck with a God
Venons-en à quelque chose de primordial pour un
Devil May Cry : la direction artistique. Gothique, sombre et presque flippante pour
DMC premier du nom, elle a évolué tout au long de la série pour proposer des environnements plus distincts (on se souviendra de la jungle de
DMC 4 pour être légèrement… hors-sujet) tout en gardant l’esprit de la saga de
Capcom. Ici, oubliez l’Île Mallet, le Temmen-Ni-Gru et autre Château de Fortuna, et dîtes bonjour aux Limbes, nouvelles représentations du Monde Inférieur, l’univers démoniaque. Les puristes de la licence seront évidemment monstrueusement déçus de ne retrouver en aucun point ou presque l’ambiance des anciens jeux, mais ne pourront en aucun cas renier la qualité de la direction artistique. Indépendamment du fait qu’elle diffère beaucoup de ce dont on était habitués, rien à dire : ça poutre méchamment son grand-daron. Tout le long du jeu ou presque, Dante est attiré dans les Limbes, le reflet démoniaque du monde humain, dans lequel on devra évoluer. Des couloirs et encore des couloirs, certes, mais des couloirs qui se déforment, qui essaient de vous bouffer à tout moment, de vous faire tomber dans le vide, de vous écraser comme un vulgaire insecte. Que ce soient les murs, le sol, les caméras de surveillance, tout semble vous épier afin de vous piéger à tout moment. Les effets sont parfois impressionnants, comme cette église que l’on essaie de traverser en vain, la terre se dérobant sous nos pieds et s’éloignant constamment. En soi, le level-design est plutôt paresseux, des phases de plate-forme étant là pour redresser un tout piti poil le niveau, mais c’est surtout sa mise en scène et, au final, l’ambiance de la campagne qui prime sur le reste. À tel point que tout cela gagne même sur la réalisation graphique et technique du titre : développé sur l’
Unreal Engine 3, le soft affiche des graphismes propres mais très perfectibles sur ses nombreuses textures baveuses ainsi que sur ses quelques lags, infimes il est vrai, mais présents. Alors oui, ça fait un très mauvais
DMC de ce côté-là, mais en tant que jeu vidéo,
DmC mets la barre suffisamment haute pour que l’on applaudisse le travail du studio britannique. On retiendra juste la fausse promesse de
Capcom, qui insistait sur les interactions avec le décor dans ces temps d’insultes et de déception, qui est un engagement à moitié tenu. Il ne suffit pas de s’accrocher de murs en murs pour arriver à un point B pour justifier ses dires, malheureusement…
There you are, flocking bastards !
Pour accompagner cette ambiance démoniaque,
Ninja Theory a compris que la bande-son était un élément primordial pour coller avec le reste. Et de ce côté-là, encore une fois, les petits gars ont fait du très bon boulot. De même, l’ambiance musicale a changé tout au long de la série, mais gardant toujours cet aspect métal/electro important. Les chanteurs Shootie HG, Warren Fischer et Jason "Shyboy" Arnold qui avaient composé les excellents thèmes principaux de
DMC 3 et
4 ont laissé leur place à des groupes plus connus :
Combichrist pour le rock et
Noisia pour l’électronique assurent une OST tout simplement monstrueuse. Un poil moins répétitive qu’auparavant, ces célèbres artistes signent là une ambiance musicale mélangeant le metal, plus classique et plus violent encore, et la Drum & Bass, cousin de l’immensément reconnu Dubstep. Chaque style de musique intervient au moment le plus adapté : ainsi, dans les environnements urbains, on aura le plus souvent les guitares et les mecs qui se cassent la voix au micro tandis que les combats de boss et les lieux plus modernes, tel que le niveau de la boîte de nuit, vous balancent de l’électro démentielle au rythme particulier, collant vraiment bien au style de ce reboot. On en prend plein les oreilles, et pour notre plus grand plaisir ! On regrettera simplement la disparition totale de la liturgie, qui aurait parfois pu s’adapter à certains combats importants pour en accentuer l’aspect dramatique. Tant pis !
Ça c'est une gueule que seule une mère peut aimer !
Mais à vrai dire, bon nombre de joueurs considèrent
Devil May Cry comme un chef d’œuvre pour son gameplay exemplaire. Sans doute meilleur Beat Them All de cette génération avec
Bayonetta,
DMC 4 a su proposer une jouabilité proche de la perfection, infiniment complexe et simple à appréhender à la fois, ce qui a fait de lui une petite perle en son genre.
DmC en est-il un bon descendant ? Connaissant
Ninja Theory, il y avait de quoi s’inquiéter un poil de ne pas avoir un système aussi performant que celui d’avant. Et autant vous l’avouer : il est… différent. Puisant directement dans le gameplay d’
Heavenly Sword, on peut alterner entre les coups normaux avec Rebellion, l’épée de Dante, les coups légers en restant appuyé sur la gâchette de gauche (représentant les pouvoirs angéliques) et les coups lourds et puissants avec celle de droite (les capacités démoniaques). L’aptitude de Nero de l’ancien opus à tirer les ennemis vers lui, ou l’inverse, est ici reprise grâce à un grappin avec lequel il faudra également jouer pour s’en sortir vivant. Les armes à feu sont toujours présentes, mais elles sont malheureusement plus en retrait au vu de leurs dégâts plutôt faiblards.
Au début de l’aventure, le gameplay est plutôt difficile à appréhender. On ne se souvient pas forcément quelle touche correspond à quoi, et l’on jongle souvent hasardeusement entre les gâchettes pour trouver la bonne action. Le hic, c’est que ceci est également valable pour les plus habitués de la licence, qui auront eux aussi leur moment de perdition. Alors que
Capcom assurait précédemment un gameplay fidèle aux anciens titres où les fans retrouveront leurs marques sans grand problème, le fait est de constater qu’ils se sont gourés. Le verrouillage a été supprimé, ce qui est assez déroutant au début, et même si certains combos ont été conservés, la manipulation pour les appliquer est parfois différente et peu ergonomique. On pense notamment à l’indémodable Stinger, qui permet de se jeter en avant sur un adversaire l’épée à l’horizontale, qui s’effectue ici en une succession de levers de joystick suivies de la touche d’attaque… Les habitués sauront de quoi je parle. Mais qualifier le système de combat de mauvais relèverait incontestablement du mauvais goût ! Vous n’avez pas été conquis par la démo ? Sachez qu’elle n’est finalement pas très représentative du jeu complet. Une fois bien assimilé, le système des gâchettes se révèle diablement jouissif, notamment vers la fin de l’aventure où vous disposez d’un arsenal assez conséquent. Les armes sont interchangeables via les touches directionnelles, et c’est peut-être là le seul autre problème de fluidité puisque ces boutons sont assez éloignés. Pour le reste, il est tout à fait possible de créer des combos de malades mentaux, de pratiquer du Jump Cancelling et de faire péter la jauge de style, toujours présente, encore et toujours. Bien plus aérien qu’à l’habituel, le gameplay offre alors des possibilités de saut plus poussés grâce aux grappins, que l’on devra apprendre à manier avant tout. Si
DMC 4 permet, certainement, un rendu final plus poussé, celui de
DmC est finalement bien surprenant et l’on prend vite son pied une fois la période difficile traversée. Ajoutez à cela des effets de caméra (caméra souvent capricieuse, d’ailleurs) inspirés de
Enslaved et vous obtenez un soft assez dénaturé de
DMC mais foutrement adapté à ce reboot assumé. Réussi.
C’est comme ça qu’on fait le ketchup
Si vous êtes dégoûtés des changements optés par
Ninja Theory, ne le soyez pas pour tout le système de jeu externe. Plutôt fidèle à la série, le jeu est découpé en vingt missions, que l’on peut recommencer à volonté. Un système d’upgrade, assez bordélique mais efficace, est présent : plus vous tuez de démons, et plus vous remplissez la jauge adaptée pour gagner un point d’amélioration, à dépenser dans le menu ou près d’une Statue du Temps. On peut alors s’acheter de toutes nouvelles compétences, que ce soit les aptitudes de Dante ou sur les armes, allant du nouveau combo à l’augmentation de puissance, en passant par la cadence de tir améliorée. Il faudra même refaire le jeu plusieurs fois pour tout posséder, c’est dire ! Et une fois le grand Chasseur de Démon bien rôdé, le jeu vous semblera encore plus facile qu’il ne l’était déjà. En effet, l’aventure se veut décevante d’un point du vue difficulté : en commençant directement en Difficile, on termine le jeu en une bonne dizaine d’heures (ce qui est tout à fait honorable) mais s’avère pourtant assez peu ardu. Quelques Game Over et puis c’est tout, les nombreux checkpoints évitent de tout recommencer à chaque défaite, tout comme les orbes d’or, qui remplacent les jaunes, permettant une résurrection immédiate. De même, les ennemis deviennent assez vite prévisibles, notamment les boss à qui les attaques n’auront vite plus de secrets pour vous.
Bien entendu, qui dit
Devil May Cry dit rejouabilité. De ce côté-là,
Capcom nous a gâté comme à son habitude avec pas moins de sept niveaux de difficulté différents dont le fameux Dante Must Die, toujours aussi chaud des fesses, débloquant skins (aux cheveux blancs, même) et artworks. Vos scores comme les notes finales des missions sont comptabilisés sur le réseau du jeu, ce qui vous permet de vous comparer à vos potes comme aux meilleurs joueurs de la planète, favorisant davantage le scoring, une des articulations de base de
DMC. Enfin, sachez que vingt-et-une missions secrètes sont à réaliser, à la difficulté progressive, et qu’elles sont accessibles uniquement en trouvant les bons types de clés disséminées à travers les niveaux et les portes qui leur correspondent. De même, quarante Âmes Perdues, des mecs à défoncer pour gagner plus d’orbes tout simplement, sont cachées dans l’histoire et ne demandent qu’à être trouvées. Rajoutez à cela le fameux Bloody Palace et ses cent niveaux à franchir, qui devrait arriver prochainement sous DLC et vous avez l'un des jeux les plus complets de ce début d’année.
Enfin, petite mention aux fanboys : sachez que la politique de contenu additionnel de l'entreprise japonaise n’est toujours pas revue comme elle avait prévu de le faire et que ces derniers arrivent très prochainement. Ainsi, l’aventure
Vergil’s Downfall proposant l’incarnation du frère jumeau de Dante au gameplay sensationnel sera proposée à quinze euros (bientôt en test, on l’espère) ainsi qu’un premier pack de costumes, dont un retiendra certainement l’attention : Classic Dante vous permet de jouer avec le Dante de
DMC 3, que ce soit au niveau vestimentaire comme capillaire. Le tout pour trois pièces. Céderez-vous à
DmC Devil May Cry, où est-vous définitivement têtu ? ?