Test : Forza Motorsport 4 - Xbox 360

Forza Motorsport 4 - Xbox 360
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Attendu depuis son annonce lors de l'E3 2010 par tous les possesseurs de Xbox 360 fans de jeu de course, Forza Motorsport 4 est maintenant sur le point d'envahir nos rayons. Voilà qui devrait raviver le conflit entre pro-Forza et pro-Gran Turismo. Mais que cela n'occulte pas la seule question qui compte vraiment : le nouveau volet de la licence de Turn 10 est-il bon ou s'agit-il d'un pétard mouillé ? Enfin je dis ça mais on connait tous la réponse...
Apparu en mai 2005 sur la première Xbox, Forza Motorsport premier du nom connu un certain succès bien qu'il soit resté discret lors de sa communication. Il aura fallu attendre l'ère de la HD pour que la licence s'impose comme un challenger sérieux face au tout puissant Gran Turismo. Et si les reports successifs de Gran Turismo 5 ont du aider, la saga de Polyphony Digital étant du coup absente du paysage vidéo-ludique pendant 6 longues années, cette reconnaissance n'en est pas moins mérité. En effet, la série exclusive aux machines de Microsoft est bourrée de qualités, à commencer par la plus importante : le jeu offre des sensations de conduite ultra-réalistes. C'est à partir de ce moment là que la communauté des joueurs c'est divisée, occasionnant régulièrement quelques clashs sur la toile pour déterminer laquelle de ces deux simulations est la meilleur.

A sec avec du gravier...

Lorsque vous mettez votre galette dans la Xbox 360 pour la première fois, le jeu vous met directement au volant d'une Ferrari 458 Italia pour une course, comme ça, sans même dire bonjour. Un petit échauffement bien sympathique pour les débutants, les autres risquent en revanche de trouver l'épreuve quelque peu ennuyeuse, toutes les aides à la conduite étant activées. Les joueurs confirmés s'empresseront donc de désactiver ces dernières pour retrouver des sensations de pilotage au plus proche de la réalité. Et dieu sait que le titre de Turn 10 est réaliste. Le transfert de masse est tout simplement bluffant et les bolides les plus puissants vous demanderont un certain doigté lors de l'accélération. De plus, il faudra anticiper les virages sous peine de devoir freiner en urgence et atterrir dans le gravier. Pour en revenir à la physique des véhicules et aux sensations de conduite, vous aurez fort à faire pour maitriser certains monstres de puissance que vous pourrez acquérir au fil du mode carrière. En effet, si on prend la Mercedes SLS AMG comme exemple, une accélération très progressive s'impose pour ne pas faire patiner les roues arrières et perdre de précieuses secondes. C'est donc de manière très progressive qu'il faudra accélérer en sortie de virage jusqu'à la limite de perte d'adhérence. En parlant de ça, les épreuves de drift sont plutôt réussies dans l'ensemble et constituent un challenge assez corsé, les scores cibles étant élevés. Mais avant de prétendre battre ces records, il faudra faire partir la voiture en dérapage, et rien que ça, c'est compliqué. Alors pour ce qui est d'en garder le contrôle tout en restant en drift, c'est une tout autre histoire. Et il sera fréquent au départ de partir en tête à queue et d’atterrir dans l'herbe. Par contre, une fois qu'on maitrise la technique, enchainer les dérapages contrôlés dans la 86 de Takumi Fujiwara procure d'excellentes sensations.

Fouette moi avec une pelle

C'est donc un jeu foutrement réaliste que nous avons là, mais il se permet tout de même quelques écarts. En effet, lorsqu'on sort de la piste à certains endroits, il vous arrivera de vous arrêter net, sans raisons apparente. Ça passe quand on est sur du sable, mais quand on roule sur de la pelouse ou de l'asphalte, c'est déjà moins crédible. À d'autres endroits, on subira une perte inexpliquée d'adhérence, rendant la voiture extrêmement difficile à conduire et vous empêchant par la même occasion de reprendre de la vitesse avant de revenir sur la piste. On sent bien derrière tout ça la volonté des équipes de Turn 10 de pénaliser les joueurs qui essayent de couper les virages, mais au final, c'est vachement frustrant de se retrouver quasiment à l'arrêt parce qu'un bout de sa roue avant droite a flirté avec le bas dans un moment d'inattention. Pire, il arrive que le jeu vous inflige une double peine avec ce système, je pense notamment au circuit de Catalogne en Espagne. La deuxième section du circuit contient une grande épingle précédée d'une ligne droite en descente, un virage qui est assez technique l'air de rien. Si vous ratez votre freinage, vous êtes bon pour filer tout droit ou presque et quitter la piste, ce qui vous fait perdre déjà pas mal de temps, mais en plus de ça, il vous faudra vous battre pour retourner sur la piste.

L'heure est venue de cramer un peu de gomme

Il est temps maintenant de s'attaquer au gros morceau du jeu, le mode carrière. Il est divisé en 3 parties : le World Tour, la liste des épreuves et les rivaux. Le mode World Tour est constitué de 10 saisons elles même composées d'un nombre variable d'épreuves à gagner sur différents circuits. Pour chaque tracé, le titre vous propose trois courses en fonction des voitures que vous possèdez. A vous de choisir laquelle vous voulez disputer pour passer au circuit suivant et ainsi de suite. En plus d'imposer des restrictions différentes au nivaux des véhicules, chaque course octroie un bonus de fin de course différent en crédit, expérience ou affinité, celui-ci pouvant être prédéterminé ou aléatoire. Les crédits servent à acheter des voitures ou à en améliorer les performances, l'expérience, à augmenter votre niveau de pilote, chaque gain de niveau vous permettant de choisir un véhicule parmi les 4 ou 5 qui vous sont proposés à ce moment là. Plus votre niveau est élevé, plus les voitures proposées sont puissantes. L'affinité est l'expérience que vous gagnez chez les différents constructeurs en gagnant des courses avec leurs véhicules. Gagner des niveaux en affinité permet d'avoir des primes bonus en crédit mais surtout d'obtenir des réductions permanentes sur les améliorations des constructeurs en question, ces derniers allant même jusqu'à vous les offrir une fois le niveau 4 atteint.
Plusieurs types d'épreuves sont proposées, il y a bien évidemment les courses classiques vous imposant une certaines catégories de véhicules, mais il y a aussi des challenges plus exotiques. Les Track Day sont des courses en un contre un où il faut à la fois devancer son adversaire et composer avec les autres voitures qui, en plus d'être nombreuses et lentes, monopolisent la trajectoire idéale. Les courses autocross, disparues depuis le deuxième épisode de la licence, font leur grand retour. Elles consistent à faire un tour de circuit en slalomant entre des barils dans la limite du temps imparti. Mais la palme revient au épreuves concours de quilles. Se déroulant exclusivement sur le circuit Top Gear, elles consistent à marquer le plus de point possible en renversant le plus de quilles possible en un tour. Apportant une variété bienvenue dans le gameplay, ces mini-challenges sont de véritables petites bulles d'air dans un mode World Tour qui vous fait enchainer les courses à un rythme de fous.

Un contenu impressionnant

On avance rapidement dans le mode World Tour, à tel point qu'on a l'impression que ce Forza 4 va être vite plié. Alors on va faire un tour dans les autres modes, à commencer par la liste des épreuves. On tombe alors sur une grille assez obscure au premier abord contenant pas moins de 245 cases divisées en 6 parties. Voilà qui suggère déjà un contenu plus intéressant, mais on se rend vite compte que nombre de ces cases proposent en fait entre 3 et 6 courses, certaines allant même jusqu'à 12. A ce moment là, le nombre d'heures de jeu qui se profile devant vos yeux file le vertige. Le mode World Tour a beau piocher ses courses dans cette liste, il en reste quand même une quantité impressionnante à faire, de quoi vous occuper pendant de longues semaines. Heureusement, un code couleur est la pour vous aider à vous y retrouver dans ce foutoir. Vert : vous pouvez participer avec la voiture sélectionnée, bleu : vous avez une voiture adéquate dans votre garage, et gris : va falloir faire des emplettes chez le concessionnaire du coin. Et on a pas encore abordé la section Rivaux qui propose 7 catégories contenant chacune entre 5 et 10 courses. Le rapport prix/durée de vie penche fortement en faveur des joueurs.
Le titre propose en plus de 500 voitures de 80 constructeurs différents pour une vingtaine de circuits, sans compter les variations. Les mauvaises langues diront que c'est pas autant qu'un Gran Turismo 5, et elles n'auront pas tort, mais je les met au défi d'acheter et de conduire chacun de ces bolides. Pour ce qui est des circuits, Forza 4 nous donne à la fois des tracés officiels fidèlement reconstitués comme ceux du Mans et de Laguna Seca pour ne citer qu'eux, et d'autres, fictifs, qui sont vraiment vicieux comme le Fujimi Kaido qui, en plus d'être tortueux et tout en dénivelé, ce qui est franchement pas pratique pour conserver l'adhérence de sa voiture, fait plus de 16 kilomètres de long. Maitriser tous ces tracés et apprendre à en éviter les pièges vous demandera une certaine pratique. La qualité est là pour les circuits aussi.

Petits runs entre amis

Comme tout bon jeu qui se respecte de nos jours, Forza 4 est doté d'un mode multijoueurs en ligne plutôt bien fourni. Malheureusement, les serveurs étant déserts au moment de la rédaction de ce test, nous n'avons pas été en mesure de l'essayer et nous ne pouvons donc pas vous en livrer nos impressions. Sachez toutefois, qu'en plus de faire des courses en ligne, il vous permettra de créer un club dans lequel tous les membres pourront partager leurs voitures via un garage commun. Mais elle vous permettra en plus d'interagir avec la communauté de Forza 4 toute entière en achetant ou vendant des voitures, des vinyles, des réglages ou des skins pour vos bolides. Il sera bien entendu également possible de partager photos et vidéos de vos courses. À ce propos, il sera possible d'envoyer ces dernières sur forzamotorsport.net, mais il faut savoir que les vidéos ne peuvent pas excéder les 30 secondes. Le titre propose également un mode multijoueurs en écrans splitté pour les soirées entre potes.

Une réalisation aux petits oignons

Comme on peut le voir sur l'image ci dessous, il n'y a pas eu de progrès visible quant à la modélisation des véhicules. Ce qui n'est pas franchement gênant tant celle de Forza 3 est réussie. Les équipes de Turn 10 se sont visiblement davantage penchés sur les éclairages, et elles ne se sont pas tournés les pouces. En effet, leur travail suffit à grandement améliorer le rendu général du titre. Les ombres, plus marquées que dans le passé, mettent en avant les volumes tandis que les reflets sur la carrosserie atténuent grandement l'effet « plastique » dont pâtit la version Forza 3 du modèle. Bien entendu, le travail sur l'éclairage à aussi profité aux circuits qui sont plus beaux que jamais. Les effets de lumières lorsqu'on cour sur circuit au lever ou au coucher du soleil sont tout simplement sublimes. Pour en revenir aux voitures qui jouissent toutes d'une modélisation très détaillée, la vue cockpit est malheureusement inégale d'un modèle à l'autre. La plupart d'entre elles étant réussies, certaines font en revanche peine à voir. Par exemple, celle de la Mercedes #4 C-Class est un peu vide et manque de détails.
Pour ce qui est de la gestion des dégâts, si elle est bien supérieure à celle d'un Gran Turismo 5, elle reste assez limité et très en retard par rapport à un Dirt 3. La carrosserie ne se déforme que légèrement, l'essentiel des dégâts étant modélisés via le remplacement de textures pour donné un effet tôle froissée. Mais ce système montre vite ses limites. En effet, lors de chocs particulièrement violents, les voitures ont tendance à changer de couleur subitement, ce qui n'est pas crédible du tout. Ceci étant dit, si vous êtes un gros roxxor de la simulation automobile, cela ne devrait pas vous gêner. On notera tout de même la prise en charge des avaries mécaniques qui peuvent grandement influer sur le comportement de votre voiture et de ses performances. Ainsi, si vous percutez un mur à plus de 200 km/h, ne vous étonnez pas si votre auto montre quelques signes de faiblesse et tire un peu à droite.

Une compétition hargneuse

Un point fort de cet épisode est sans aucun doute le challenge qu'il propose, vos adversaires étant plus rapides que dans un Gran Turismo. N'espérez pas ici prendre un tour à tout le monde. D'une part, parce que les courses sont trop courtes, mais aussi parce que ces bâtards ne vous lâcheront pas d'une semelle, guettant la moindre erreur de votre part pour vous passer devant. Rien à redire à ce niveau là, ils savent vous mettre la pression, les avoir constamment dans le rétroviseur n'aide pas vraiment à rester serein. Mais ça marche aussi dans l'autre sens, si vous suivez un adversaire assez longtemps et lui mettez la pression, il ne sera pas rare de le voir faire une sortie de route, vous laissant le champ libre pour passer. Mais en règle générale, il faudra jouer des coudes et froisser de la tôle pour s'imposer. Mais rassurez vous, si une course est trop difficile, vous aurez toujours la possibilité de recruter un pilote pour le faire courir à votre place. Ceci étant dit, il vous prendra la moitié de vos gains et il faudra faire une croix sur les points d'expérience et d'affinité. Et qui plus est, regarder un bot conduire à sa place n'est pas forcément très fun.
Malheureusement, cette difficulté fort sympathique est pourrie par deux défauts : des indices de performance pas forcément fiables et une I.A. à la ramasse. On va commencer par ces fameux indices qui, en plus de classer le véhicules suivant leur performances, servent de restriction pour l'accès aux différentes épreuves. De cette manière, si on se lance dans une compétition limitée aux véhicules classés A600 ou moins avec une voiture qui a précisément cet indice là, on est en droit de penser qu'il n'y aura pas sur la piste de voitures plus rapides que la notre. Mais ce ne sera pas forcément le cas, et il arrivera que malgré cela, certains adversaires restent hors de portée, étant bien trop performants par rapport à l'indice qui leur est attribué.
L'intelligence artificielle est sans aucun doute le gros point faible de Forza 4. Elle mériterait d'ailleurs davantage le nom de connerie artificielle tant elle est à la masse. En fait, elle n'est pas forcément plus mauvaise que celle d'un Gran Turismo 5, mais le titre de Turn 10 pâtit grandement du fait de passer après F1 2011 qui propose une I.A. des plus aboutie. Ici, vos concurrents resteront sur la trajectoire idéale, même si ça signifie vous rentrer dedans et vous envoyer dans le décor. Il ne sera pas rare qu'alors que vous roulez en double file avec un adversaire en ligne droite, celui-ci vienne vous donner un coup dans le flan, vous poussant vers le bas côté, pour prendre place sur la fameuse trajectoire. De même, prenez garde lorsque vous êtes suivi à ne pas freiner trop tôt avant de négocier un virage, sinon il y a de forte chance que votre poursuivant vous pousse hors de la piste. Ces cas de figure se présentent assez souvent et sont franchement frustrants lorsqu'ils vous coutent la victoire.

Les petits plus qui font la différence

Pas mal de petites idées, dont certaines déjà présentes dans les précédents épisodes, permettent à ce Forza 4 de se démarquer encore davantage au milieu de tous cet amas de jeux de course et notamment de son concurrent direct. À commencer par le fait de récompenser les joueurs qui jouent sans les aides au pilotage via des gains supplémentaires en crédits après chaque course, ce qui pousse à jouer au proche de la réalité. Dans le même ordre d'idée, le titre vous facture également les réparations de votre voiture, vous invitant à rester civilisé sur la piste.
Une autre fonctionnalité fort sympathique est le tuning automatique. Si vous vous apprêtez à débuter une course avec une voiture un peu faiblarde par rapport à la concurrence, le jeu vous proposera de poser des pièces de manière à la rendre compétitive et vous présentera la facture. Cela marche aussi dans l'autre sens, seulement cette feature n'est pas forcément au point. En effet le jeu favorise de manière outrancière le gain de puissance, ce qui fait que vous vous retrouverez au final avec une voiture souvent très difficile à conduire. Quoi qu'il en soit, la présence de cette fonctionnalité témoigne de la volonté de Turn 10 de favoriser le fun et l’immédiateté du titre comparé à la série de Polyphony Digital qui exige un certain investissement de la part du joueur.
Il y a également le mode Autovista qui a pour ambition d'être un petit musée automobile, et en un sens, c'est réussi. Se balader autour de ces luxueuses voitures et les examiner sous toutes leurs coutures permet de pleinement apprécier la qualité de leur modélisation d'une part, et de pleurer quand on monte dans sa Twingo d'autre part. Seulement, passé le premier quart d'heure, l'intérêt commence à s’essouffler et, à moins d'être un vrai passionné, vous n'aurez pas à cœur de passer les épreuves proposées dans ce mode pour débloquer de nouvelles voitures. Et ce n'est pas faute d'y avoir mis les formes, ce mode proposant de multiples informations sur les différent bolides.
Et enfin, il y a la compatibilité avec Kinect. La reconnaissance vocale marche bien pour peu qu'on sache articuler mais ne sert pas à grand chose vu que de toute façon, on a une manette dans les mains. Ceci étant dit, c'est bien tripant au début. La fonctionnalité la plus intéressante liée à Kinect est de loin le head-tracking qui permet au joueur, en vue cockpit, de déplacer la caméra d'un simple hochement de tête. Il faudra néanmoins bien calibré l'appareil pour éviter que le message désagréable « placez votre tête au centre, face du capteur » apparaisse trop souvent. Il faudra aussi passer par les menu du jeu pour en régler la sensibilité afin de ne pas avoir à trop bouger et éviter ainsi torticolis et autres douleurs intercostales. Mais une fois le tout bien calibré, c'est d'un gain énorme en immersion que vous bénéficierez. Surtout si, comme votre humble serviteur, vous faites partie de cette race de joueurs qui aiment incliner la manette, et la tête, pour aider la voiture à tourner. C'est con, ça sert à rien, mais c'est ça qui est bon.
Tout comme Gran Turismo 5, Forza Motorsport 4 à ses défauts. Une I.A. défaillante, des indices de performances pas toujours fiables, des temps de chargement trop long, et cela malgré une installation sur le disque dur de la machine, voilà autant de choses que l'on peut reprocher au titre de Turn 10. Pourtant, manette en main, on oublie vite toutes ces imperfections tant le jeu offre des sensations trop rares aujourd'hui dans les jeux de course. Avec cet épisode, Dan Greenawalt va bousculer Kazunori Yamauchi sur son propre terrain et lui montre que les deux studios sont bel et bien à armes égales pour s'imposer. Et c'est nous, les joueurs, qui sommes les grands gagnants dans cette histoire puisqu'au final, on a droit à deux simulations automobile qui déchirent et qui, en plus, vont se sortir les doigts du cul pour surpasser la concurrence.
06 octobre 2011 à 09h26

Par

Points positifs

  • Les sensations de conduite
  • Le challenge
  • Une réalisation de haute volée
  • La durée de vie colossale

Points négatifs

  • Une I.A. à la ramasse
  • Le système de punition des tricheurs
  • Des indices de performance pas toujours fiables
  • Certaines vues cockpit pas très jolies

Gribouillé par...

pattoune

pattoune

Ours savant

Davantage ours que savant, ce con n'a pas compris que l'hibernation c'est en hiver. Résultat, il reste cloitré dans sa grotte à longueur d'année. Ce qui arrange bien du monde. Mais ce n'est pas un mauvais bougre. Il est même plutôt drôle à l'occasion. C'est souvent à ses dépens mais chut, il faut pas le dire. Ayant été récemment rattrapé par l'eau courante et l'électricité, il est désormais en mesure, après avoir difficilement assimilé les bases de l'hygiène corporelle, de nous livrer tests, news et autres contenus enchanteurs. Il nous reste plus qu'a espérer qu'il ne lui vienne pas l'idée de faire prendre un bain à son PC... Trop tard.
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