End of Nations - La preview de l'E3 2012

End of Nations - La preview de l'E3 2012
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Trion Worlds a profité de l'E3 pour nous redonner des nouvelles de End of Nations. Le jeu de stratégie temps réel de Petroglyph nous ayant fait une bonne impression lors de notre premier contact, nous ne nous sommes pas fait prier pour tâter de nouveau la bête.
Bon, on ne va pas vous refaire la totale, le jeu ayant déjà fait l'objet d'une preview. Pour rappel, End of Nations est un jeu de stratégie en temps réel massivement multijoueurs qui propose aux joueurs de lutter au sein de différentes factions pour le contrôle d'une zone de guerre persistante lors de batailles pouvant prendre des proportions démesurées. Si vous voulez plus de détails, je vous invite à lire la preview précédente. Depuis notre dernier contact avec le jeu, celui-ci a bien évolué graphiquement. Non pas qu'il piquait les yeux à l'époque, loin de là, mais tous les éléments visuels semblent désormais être en place. Finis les vieux sprites en guise de fumée. De même, la modélisation des unités a été affinée, ce qui est fort appréciable, même s'il faut vraiment zoomer ou aller dans le menu de sélection des unités pour s'en apercevoir. Bref, les équipes de Petroglyph n'ont pas chômé, et c'est tant mieux.

End of Nations - La preview de l'E3 2012

Tu veux voir ma base ?

On a pu voir un tout nouveau mode de jeu cette fois-ci, celui qui présenté dans le dernier trailer estampillé [E3 2012] du titre. Pour ceux qui ne l'auraient pas vu, le mode en question oppose deux joueurs qui doivent capturer la base adverse. Pour ce faire, ils doivent, en premier lieu, capturer deux zones stratégiques ennemies afin de désactiver le bouclier de la base à détruire. La map dans laquelle se déroulait l'affrontement mettait les deux bases face-à-face, chacune à un bout de la carte, les points stratégiques se situant sur les côtés entre les deux bases. Chaque camps disposait de deux générateurs d'unités contrôlées par l'IA. Si le joueur n'a aucun contrôle sur ces dernières, il peut néanmoins upgrader les générateurs pour en améliorer la puissance si besoin. Paraissant simpliste au premier abord, ce mode de jeu s'avère finalement très technique, la moindre erreur étant immédiatement sanctionnée par l'adversaire. Et protéger ses générateurs de drone IA est au moins aussi important que garder la possession de ses zones stratégiques.

Tu veux voir ma base ?

Nouvelles unités pour toujours plus de plaisir

Cette présentation fût également l'occasion d'entrer un peu plus en profondeur dans le gameplay du titre, et de découvrir de nouvelles unités. La première est ce que les développeurs appellent les "unités héros". S'il en existe plusieurs, elles sont uniques. Entendez par là que vous ne pouvez en prendre qu'une dans votre « deck ». Ces unités ont la particularité d'avoir une plus grosse puissance de feu et une meilleure portée que les autres. On a aussi la possibilité de les fixer à la position de notre choix, lui conférant ainsi un bonus offensif. L'autre unité dévoilée a la faculté de se rendre invisible, ce qui est bien pratique pour tendre des embuscades ou prendre l'ennemi à revers. Ceci dit, n'espérez pas avoir de bonus de dégâts pour les attaques par surprise. La possibilité de déplacer ses troupes sous le nez de son adversaire sans qu'il ai la moindre idée de ce que vous préparez est déjà un avantage considérable.

Nouvelles unités pour toujours plus de plaisir

Viens jouer avec mon interface utilisateur

On a ensuite fait un tour dans l'armurerie du jeu, l'endroit où on sélectionne les unités qui vont constituer notre « deck », ou compagnie. Et oui, pas question de créer des unités à la volée dans End of Nations. Ici, vous constituez un deck en y ajoutant un certain nombre d'unités que vous pourrez ensuite utiliser dans vos parties. Chacune de ces unités coutant un certain nombre de points, il vous faudra jauger au mieux pour composer la meilleure équipe dans la limite des points disponibles. Les joueurs pourront sauvegarder trois decks, mais ce nombre devrait augmenter au fil de leur progression. Il subsiste alors une question : et si jamais je foire dans la sélection de mon deck ? Pas de panique, les gars de Petroglyph ont pensé à tout. En effet, si vous vous retrouvez avec une composition totalement à la ramasse par rapport à la situation à laquelle vous êtes confronté, vous avez toujours la possibilité de changer de deck. Vos unités sur le terrain disparaîtront tandis que votre nouvelle compagnie apparaîtra devant votre base. Ce petit passage dans l'armurerie nous a aussi permis de constater certains changements faits dans l'interface de jeu, ceux-ci rendant l'ensemble globalement plus clair et lisible. On aussi aborder le système de personnalisation des unités auxquelles on peut ajouter des mods améliorant certaines de leurs caractéristiques. Mais on peut également changer la skin de sa compagnie, celle-ci s'appliquant à toutes les unités. Et oui, tout le deck doit rester coordonné, même dans ses couleurs. Quoiqu'il en soit, le nombre de skin proposé est assez important. Et même si c'est une option des plus anecdotiques, ça fait toujours plaisir.

Viens jouer avec mon interface utilisateur
End of Nations a bien changé depuis la dernière fois qu'on la croisé. Plus beau, plus clair, le titre semble être sur la bonne voie pour séduire (et satisfaire ?) tous les amateurs de STR. Et si on ne peut pas encore émettre de jugement définitif sur le titre de Trion Worlds, ce qu'on en a vu est loin d'être dégueulasse, bien au contraire.
14 juin 2012 à 22h00

Par pattoune

Gribouillé par...

pattoune

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Ours savant

Davantage ours que savant, ce con n'a pas compris que l'hibernation c'est en hiver. Résultat, il reste cloitré dans sa grotte à longueur d'année. Ce qui arrange bien du monde. Mais ce n'est pas un mauvais bougre. Il est même plutôt drôle à l'occasion. C'est souvent à ses dépens mais chut, il faut pas le dire. Ayant été récemment rattrapé par l'eau courante et l'électricité, il est désormais en mesure, après avoir difficilement assimilé les bases de l'hygiène corporelle, de nous livrer tests, news et autres contenus enchanteurs. Il nous reste plus qu'a espérer qu'il ne lui vienne pas l'idée de faire prendre un bain à son PC... Trop tard.
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