Qui n’a jamais rêvé d’être un preux chevalier sauvant une princesse en détresse, d’être un aventurier œuvrant pour le bien de l’univers, de pourfendre des dragons pour sauver un village ? Si vous faites partie de ces gens, passez votre chemin, The Witcher 2 n’est pas un conte de fée.
Geralt, lui, ne tue pas les dragons. Ce n’est pas dans son code déontologique du Witcher (ou sorceleur en traduction française, terme que j’affectionne moyennement). Geralt éradique le « moindre mal de tous les maux », qui se résume en général à des monstres tout droit sortis de la mythologie scandinave, mais aussi, et cela plus fréquemment qu’on ne le souhaiterait, à des humains qui sont parfois plus corrompus par le mal que les monstres eux-mêmes. Et pas gratuitement, faut pas déconner !
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