Depuis quelques mois maintenant,
Vivendi prend une part de plus en plus importante dans le capital d'
Ubisoft. Ce dernier voulant éviter de se faire absorber par le groupe français dans un soucis d'indépendance, recherche des investisseurs canadiens pour contrer la progression de cette prise de contrôle. Yves Guillemot, le grand patron d'
Ubisoft, souhaite inciter les gouvernements canadiens et québécois, les deux états abritant environ 3000 des employés de l'éditeur, a investir.
Son argument principal est que les employés en question seront mieux protégés si Ubisoft garde son indépendance. Guillemot a déjà rencontré Justin Trudeau et Philippe Couillard, les premiers ministres canadiens et québécois, dans ce but. On attend maintenant de voir si ça va marcher. Croisons les doigts.