Si la
Nintendo Switch est disponible depuis déjà quelques mois, l'offre online reste encore pour l'heure un mystère. Tout juste avons nous eu droit à quelques informations vagues, à savoir que le jeu en ligne deviendrait payant à la fin de l'année et que le tout devrait coûter moins de 30 euros par an, mais rien de réellement concret.
La chose est désormais corrigée,
Nintendo ayant décidé de
préciser tout ça. Et la première information est une bonne nouvelle : le service payant ne sera pas mis en place en fin d'année, mais plutôt en 2018. De quoi donc jouer gratuitement encore un peu plus longtemps, d'autant plus que quelques titres seront tournés vers le multi, comme
Arms ou
Splatoon 2. Quant à l'abonnement, il sera de 20 dollars à l'année, 8 dollars au trimestre et enfin 4 dollars au mois. Le tout concerne l'Amérique, comme vous l'aurez sans doute compris, mais l'Europe devrait sans doute avoir droit au même traitement.
Le petit bonus, maintenant. Jusqu'à présent,
Nintendo indiquait que les joueurs auraient chaque mois droit à un jeu NES puis Super Nes avec des fonctionnalités en ligne, mais qu'ils ne pourraient plus y jouer une fois le mois terminé. Désormais, la firme s’aligne plutôt sur la concurrence, qui distribue plusieurs titres plus ou moins récents (et toujours jouables une fois le mois fini) à la fois : ce sera carrément tout un catalogue de jeux classiques qui seront mis à disposition et disponibles au téléchargement. Pour l'heure, il est question de
Dr. Mario,
Balloon Fight et
Super Mario Bros. 3, mais évidemment le tout s'étoffera. Tous ces softs seront disponibles pendant toute la durée de l'abonnement du joueur.
Quant au reste, il ne change pas, et rien n'a non plus été dit concernant la Console Virtuelle. Les joueurs payant un abonnement auront donc toujours droit à des offres sur l'eShop ainsi qu'au chat vocal et aux salles en ligne. Ceux qui ne payeront pas auront pour leur part simplement accès à l'eShop, pourront enregistrer des amis, partager leurs captures d'écrans sur les réseaux sociaux et enfin utiliser l'application de contrôle parental.