Il fut un temps où la chasse aux bugs était l'apanage des développeurs. La petite Aristocratie de la Programmation se gargarisait de pouvoir, seule, sonner l'hallali. Aujourd'hui avec la libéralisation du droit au Patch, n'importe quel roturier, pourvu qu'il soit amateur d'incongruités graphiques et de crashs imprévus peut prétendre aux réjouissances de cette noble activité : l'éradication de la vermine logicielle.
Les temps changent, la plèbe s'émancipe, la vénerie se démocratise. Déplorons-le... Il est toutefois curieux de constater que le brutal accroissement du nombre des chasseurs ne se soit pas traduit par une diminution radicale de la population des chassés mais, à contrario, par une recrudescence de ceux-ci. Tout entomologiste sérieux nous ferait ici remarquer [...]
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