Ces citations du jeu vidéo qui font réfléchir

Ces citations du jeu vidéo qui font réfléchir
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The Last of Us
The Last of Us
La perte d'un être cher peut-elle être compensée ? La recherche personnelle du bonheur peut-elle l'emporter sur la vie des autres ? Le monde de The Last of Us est indéniablement l'un des plus matures de l'univers vidéoludique. Un environnement de détresse, en proie à la survie, la terreur et, plus simplement, la nature. Une terre où l'homme agit instinctivement pour survivre : il n'y a pas de méchants ou de gentils... juste des êtres qui cherchent à s'en sortir et qui n'ont rien à perdre. 

"Things happen... and we move on."
/ "Certaines choses arrivent... et on continue d'avancer."

"Il y a très longtemps, il y avait quelqu'un à qui je tenais... C'était un partenaire. Quelqu'un sur qui je me devais de veiller. Et dans ce monde, ce genre de merde n'apporte qu'une chose : se faire buter."

"J'ai mis du temps... à accepter le fait de survivre. Et tu... Quoiqu'il arrive, tu trouves toujours une bonne raison de te battre."

"Tu sais, aussi horribles ces créatures soient-elles, elles sont au final assez prévisibles. Ce sont des gens normaux que j'ai peur."

"I swear."
/ " Je te le promets." (Les vrais ayant fait le jeu comprendront tout le potentiel monstrueux de ces deux petits mots)

Fallout 1 / 2 / 3
Fallout
Celui-là, on ne le présente plus. Culte de chez culte, Fallout a introduit l'une des phrases les plus connues du jeu vidéo. Une citation qui s'inscrit parfaitement dans l'univers futuriste et post-apocalyptique si charismatique de la saga. Si l'homme construit, n'est-ce pas après tout... pour détruire ?

"War... War never changes."

The Darkness I / II
The Darkness
Ce n'est pas parce que c'est trash que ce n'est pas joli. The Darkness décrit l'histoire d'un homme, rongé par la violence et habité d'une entité diabolique qui le pousse à massacrer ses ennemis pour dévorer son âme. Dans sa soif de sang non contrôlée, Jackie parvient à garder les pieds sur terre grâce à sa petite amie Jenny. Une belle histoire qui tient à démontrer que peu importe votre condition, l'Amour, le vrai, peut bien être l'attache qui vous empêche de partir en vrille. Une épaule sur laquelle vous pouvez vous appuyer, même lorsque l'on vous l'enlève à jamais, dans le sang et les larmes...

"There's always a little light in the darkness..."
/ "Il y a toujours une petite lumière dans les ténèbres..."

"Peu avant de mourir, mon père m'a dit : "Jackie, tu ne peux pas échapper à ton destin, mais tu peux toujours essayer.""

"[...] Tu es au cinéma, en train de regarder un film de ta propre vie. Tu es sur le grand écran. Immense. T'es une putain de star de cinéma. Et tu butes tous les mauvais mecs, ils sont en train de chialer. Et tu te sens bien. Tu parais bien. Putain, t'es bien. Et tu réalises quelque chose... Toutes les personnes dans le cinéma - elles hurlent, comme si elles regardaient un film d'horreur. Et tu n'es pas le héros. T'es le monstre."

"Je me souviens d'une fois, c'était l'été. Il faisait chaud. Je me baladais avec Jenny, en train de manger des glaces, on essayait de décompresser. Puis ce putain de gosse est arrivé. Tu vois le type : un gros trou du cul. Il m'a poussé et s'est assis entre nous deux. Jenny l'a fixé... et lui a balancé son cône sur le jean. Hehehe... Puis il l'a secoué. J'ai fait ce que je devais faire. J'ai défoncé ce petit merdeux. Je lui ai broyé la mâchoire, il a bouffé comme une mamie pendant des mois. Ça lui a appris à parler aux dames. Jenny ne m'a pas adressé la parole pendant une semaine..."

"La première fois que tu tues un homme, tu arrives à un carrefour - tu apprends quelque chose sur toi-même. Tu n'apprends pas de quoi tu es capable, si tu es une mauvaise personne, ou quoique ce soit de ces conneries. Tu apprends si tu peux dormir la nuit suivante, ou si tu ne peux pas. Si tu es hanté, ou si tu ne l'es pas. J'avais seize ans la première fois que j'ai tué un homme. Et je dors comme un bébé toutes les nuits depuis..."

"La première fois que je me suis fait arrêter, ils m'ont foutu dans un endroit comme celui-ci. Pas les flics... avec eux, je serais sorti avec un avertissement. Mais ces ordures de l'orphelinat... C'est une autre histoire. Ils m'ont enfermé dans une pièce. 24 heures, fermée à clé. Dans un putain de sous-sol. Tu n'avais jamais vu des ténèbres aussi sombres. Un truc comme ça, c'est trop dur pour un gosse. Ça aurait pu me briser... si elle n'avait pas été là pour moi. Une fois par heure, Jenny trouvait un moyen de se glisser dans un conduit et de me murmurer à travers la porte : "Ne t'inquiète pas Jacky. Je suis là..." 
Mais c'était il y a longtemps. Jenny ne m'attends plus à la sortie... et je n'ai plus peur de l'obscurité, des ténèbres... Je suis les putains de ténèbres."




30 novembre 2017 à 01h02

Par Naxi

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