On revient au meuporg avec
Dragon Knight Online. Se déroulant dans un univers fantasy plus classique, le jeu propose au joueur d'incarner quatre races : les humains, les elfes, les felynx, et les lycans. Chacune de ces races a accès à deux classes. Parmi elles, on a le guerrier, le paladin, le sorcier et le mage. La démo nous a permis de voir une felynx à l’œuvre. Très proche de l'elfe en terme de design, elle se présente à nous sous les traits d'une bimbo super sexy et très légèrement vêtue. On n'échappe donc pas aux clichés à ce niveau-là. Visuellement parlant, le titre était aussi canon que l'avatar sélectionné pour la démonstration. Et pour ne rien gâcher, le système de combat nous a paru diablement dynamique pour un jeu du genre.
Une histoire de réputation
À côté de la jauge de vie et de mana, on nous fait remarquer la présence d'un chiffre indiquant le nombre de points de réputation à notre disposition. Ces derniers se récupèrent en tuant des monstres ou en accomplissant des quêtes, et servent non seulement de monnaie pour se procurer de l'équipement, mais aussi pour améliorer votre guilde via l'amélioration des compétences de celle-ci. Les quêtes sont divisées en trois catégories. Tout d'abord, on a les missions normales, qui sont accessibles à tout le monde. Les quêtes de classes sont réservées, comme leur nom l'indique, à des classes spécifiques. Et enfin, on a les classes de guildes. Est-ce vraiment nécessaire de préciser que seules les guildes peuvent y prendre part ?
Un soupçon de Manimal
Le système de combat, en plus d'être dynamique, comporte une originalité au potentiel bien sympathique. Le joueur a la possibilité de se transformer en monstre, par l'intermédiaire de cartes dont on peut faire l'acquisition de diverses manières. Cette manœuvre a un intérêt double. Tout d'abord, elle permet au joueur d'utiliser les capacités du monstre dont il prend l'apparence. Mais elle permet aussi de ne pas être inquiété par les autres représentants de l'espèce en question. Par exemple, pour traverser une zone infestée de gobelins, on peut très bien prendre l'apparence de l'une de ces créatures et passer sans se faire attaquer. L'histoire ne dit cependant pas si les autres joueurs ont un moyen de nous différencier des monstres. Au total, il devrait y avoir une vingtaine de transformations de ce type, parmi lesquelles il y a un dragon.
Veni, vidi, vici
Les développeurs ont également inclus un fort aspect politique dans leur jeu. Chaque classe a ses propres rangs politiques. Pour le paladin, le grade le plus élevé est celui de pape, et il n'y en a qu'un par serveur. Idem avec l'empereur pour le guerrier. Ces status s'obtiennent via des élections étendues à tout le serveur. Une fois ce rang ultime atteint, on peut choisir nos subordonnés parmi les membres de notre guilde qui, au passage, fait l'acquisition d'un château, et en plus, on peut fixer une taxe que les autres guildes devront payer. En cas d'abus de la part de l'empereur, il est possible de lancer une pétition et de lancer un vote pour élire un nouveau chef, en lieu et place de celui qui est au pouvoir. Pour ce qui est des interactions entre les guildes, le titre proposera des sièges de châteaux. Organisées chaque week-end, ces phases opposent deux guildes, une assaillante et une défenseure. En cas de réussite de l'assaut, les vainqueurs récupèrent le titre, le château, etc... Apparemment, il sera possible de conclure des alliances pour maximiser les chances de victoires.
DK Online - Sorceress Spotlight par GameHope