C’est presque trois ans après l’excellent Devil May Cry 4 que Capcom a réussi l’impossible : soulever une meute de joueurs enragés, dont je faisais allégrement partie, pestant l’attitude vénale de l’entreprise nippone pourtant autrefois vénérée. Personne ne s’y attendait. Tous les fans spéculaient sur les trous noirs de la mythologie, qui seraient enfin éclaircis à travers ce cinquième opus innovant. Qui est vraiment Nero ? D’où lui vient ce bras mystérieux ? Vergil est-il véritablement son père ? Mundus fera-t-il enfin son grand retour, ainsi que le maniement de l’épée Sparda, d’Alastor, du frère de Dante ? Alors que les amateurs de la saga débattent sur les forums du monde entier de la plus jouissive des améliorations et du plus bandant des retours, [...]
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