Pour comprendre Viva Pinata, il faut s’intéresser au folklore mexicain. En vrac, on doit donc penser à Quetzacoatl (un pote du gars qui viendra te voir la nuit si tu fais pas circuler la chaîne de spam à 60 personnes dans les 20 minutes), à Zapata, à Veracruz, aux Mayas ou à Luis Hernandez (ouais, j’essaye de toucher tout le monde à travers cette introduction). Pourtant, Pinata, ça fait foutrement penser à un mot à consonance sexuelle en français. C’est belle une langue, des fois.
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