A l'heure où la démocratisation du jeu vidéo entraîne un accommodement – logique, mais controversé – de sa presse critique, moi, jeune racaille des cités, ose remettre en cause dans cet article l'intégralité des fondements de mes "confrères" en matière de "jugement" d'un soft. Et Lost Odyssey ne pouvait pas mieux tomber, tant le soft de Mistwalker cristallise depuis peu d'incessantes critiques qui peinent à convaincre. La question devient alors plus générale : qu'est-ce qu'on peut bien avoir à branler qu'un jeu soit laid (dépassé, classique, au temps de chargement incessants…) si en son cœur, il parvient à vous faire ressentir la vision de son auteur, s'il parvient à bouleverser intérieurement ? N'est-ce pas là la véritable essence d'un jeu, aux antipodes du mouvement [...]
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