Tout comme pour
Animal Crossing : New Leaf, tout commence par une arrivée dans une nouvelle ville. Le joueur crée son avatar et débarque dans l'agence immobilière de Tom Nook. Ainsi,
Happy Home Designer ne permet pas d'être le maire de la ville mais bel et bien un architecte d'intérieur. Une sorte de Cristina Cordula de la déco, en somme. Le but premier est donc simple : satisfaire les demandes des habitants et rendre leurs maisons «
magnifaïïïïque ma chérie ! ». Et, bien souvent, cela s'avère assez simple (en tout cas de ce que l'on a vu) puisque le catalogue d'objets se remplit des bons items juste après une demande. Ce n'est donc à priori pas le challenge qui intéressera les joueurs ici, mais bien les combinaisons infinies qu'il sera possible de faire chez chacun. Pour ce faire, de plus en plus d'éléments peuvent être modifiés petit à petit : papiers peints, sols, objets de déco, fenêtres, et encore bien d'autres choses. Autant dire que, bien vite, l'imagination du joueur sera la seule limite à la personnalisation d'une maison et de son jardin. Où placer tel objet ? Dans quel sens ? A chacun de faire son choix...
L'extérieur est (presque) aussi important que l'intérieur
Mais les demandes particulières des habitants ne seront pas les seules à occuper les joueurs : la désormais célèbre Marie, employée de mairie, aura en effet des requêtes spéciales à leur soumettre. La ville étant particulièrement déserte en début de partie, le but sera de la remplir via des plans d'urbanisation divers (école, café...). Là encore, un certain nombre d'éléments doit obligatoirement être placé afin de remplir le cahier des charges, mais c'est ensuite à l'imagination du joueur de faire le reste. Impossible en revanche pour l'heure de savoir si l'urbanisation occupera une place importante dans ce
Animal Crossing : Happy Home Designer ou si ces missions ne seront que ponctuelles, histoire de varier. En revanche, la chose qui est d'ores et déjà sûre et certaine c'est que ce soft a un gros potentiel addictif, à condition bien évidemment d'adhérer au genre. Entre les demandes variées des habitants, le catalogue qui s'étoffe au fur et à mesure et la possibilité de retourner s'occuper d'une maison déjà relookée, il y aura certainement de quoi s'occuper pendant des heures. En espérant que le principe ne lasse pas sur le long terme mais, pour le savoir, il faudra attendre le test.