Bionicle Heroes, la classe !

Bionicle Heroes, la classe !
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Encore une invitation et nous voila parti chez Eidos France pour assister à la présentation de Bionicle Heroes en direct live par Mr l’américain chef de produit. Pour ceux qui se poseraient la question, Bionicle Heroes est l’adaptation vidéo ludique des petits monstres à monter qui font peur aux petits « n’enfants ». Mais contrairement à ce que vous pouvez croire ce n’est pas le premier, et oui il y avait déjà eu un premier essai il y a 4 ans mais sans grand succès. Voici Eidos qui se lance un nouveau défi et retente l’expérience. Adaptation ratée ou réussie ? Histoire fidèle ou pas ? Héros en plastique ? Si « juvabien », c’est que tout va bien ! A peine entré dans les locaux de l’éditeur, nous voyons tout de suite que la boîte tient beaucoup à son aventurière pulpeuse, j’ai nommé Mlle Lara Croft. Et oui, entre les statues grandeurs natures et les photos, story board, etc… on ne sait plus où donner de la tête. Enfin ce n’est pas pour elle que nous sommes venus. Une fois installé dans la salle de présentation on peu voir que la franchise n’est réellement pas qu’un jeu vidéo puisque déjà quelques journalistes sont en train de s’essayer à monter les petites bestioles. Pour ce qui est du jeu vidéo (c’est un peu pour ça qu’on est là), c’est sur les version Xbox 360, PS2 et DS qu’il nous sera présenté. Il ne manquait que la version PC. Avec un écran HD plus large que mon lit (ce n’est pas vrai mais ça en jette vachement), la 360 était à l’honneur. En rentrant dans le vif du sujet, nous pouvons d’hors et déjà dire que le titre passe à côté du rang de bouze, comme on aurait pu s’y attendre, mais il s’avère qu’il est tout de même pas mal, avec un style à mi chemin entre la plate-forme et le bourrin, on se prend vite au jeu. Avec votre petit bionicle de départ vous devrez avancer sur des cartes assez bien faites, hautes en couleur et plutôt bien détaillées, pour ramasser des masques (cf : un peu plus bas) et tirer sur tout ce qui bouge. - un peu plus bas – Les masques donc seront votre « source de pouvoir », c'est-à-dire que selon le masque que vous porterez vous aurez telle ou telle capacité et à chaque fois une arme différente. Les « bêtes » que vous tuerez grâce à vos grosses armes vous laisseront dès pièces (tout est montable et démontable, pas de l’argent) que vous pourrez ramasser afin de faire grimper une jauge qui une fois pleine vous permet d’accéder au mode Héro, mode dans lequel vous faites l’acquisition d’un nouveau masque tout doré. Chaque masque représente un élément. Il est possible de passer d’un masque à l’autre à tout moment de la partie, ce qui se révèle très pratique. Le tout est plutôt bien mis en œuvre avec des décors assez bien léchés, une animation plus que correcte, sauf sur PS2 où les déplacements sont moins réalistes et un peu plus automatisés. Quelques petits plus sont à noter tel le plaisir de pouvoir bourriner à foison et détruire tout ce que vous verrez en pièce de construction (Lego). Ce petit côté Quake est très plaisant, mais ce n’est pas tout. Dans une zone où vous vous baladez avant de choisir dans quel monde et vers quelle aventure vous vous rendrez vous aurez la possibilité de vous distraire avec différentes « zones », celle qui nous a été présenté est la piste de danse Disco ! Un petit coup de klaxon pour appeler les copains et hop, DJ Bio (et c’est pas mamère) en action aux platines ! C’est vraiment marrant, mais hélas ça ne dure qu’un petit temps. Pour finir, ce jeu n’est pas destiné qu’aux plus jeunes d’entre nous, est plutôt bien réalisé mais ne s’imposera sûrement pas comme le plus gros hit de l’année.
05 octobre 2006 à 14h18

Par Neji

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