S.T.A.L.K.E.R. : nos impressions !

S.T.A.L.K.E.R. : nos impressions !
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J’ai joué à S.T.A.L.K.E.R. ! Bon, il y a plein d’autres gens qui y ont joué aussi, mais bon, je suis quand même content, huhu. Invité par THQ et pour Stalkerfrance.com, j’ai pu passer un après midi à tripoter de la souris et du clavier, en bavant sur la moquette et en soulevant la table. Je vous épargne le blabla sur l’histoire. Je vous rappelle juste que cela se passe en 2012 après une nouvelle explosion à Chernobyl et qu’on incarne un Stalker amnésique sauvé d’une mort certaine par un autre stalker membre du clan Loner. On se retrouve face au trader, élément ultra important dans le jeu : il nous confie missions spéciales (celle de la quête principale), petits jobs et on peut faire du commerce avec lui. Sa première mission est simple : retrouver vos nouveaux potes du clan pour faire une descente dans une ferme pour y exterminer tous les bandits qui s’y trouvent. Je sors de la cave du trader. Wow, c’est somptueux ! L’herbe bouge, le ciel est superbe, des stalkers se baladent dans le village, il y en a un qui jouent de la guitare. On me parle en russe. Dans la version finale, seuls les dialogues importants seront traduits en français, le reste en russe. C’est authentique, ça va plaire à NKB. Tout comme la vodka, hein ! Car oui, dans S.T.A.L.K.E.R., il vous faudra manger, de temps en temps, une icône fourchette et couteau (comme dans les aires de repos sur l’autoroute) vous rappellera qu’il faut manger un bout, il est temps. Pour la bouffe, vous en trouverez sur les corps de vos ennemis : des boîtes de conserve, du salami, mais aussi de la vodka. Les effets en sont désastreux, je vous laisse admirer les effets après s’être siroté une bouteille entière…
La première mission donc, voici où j’en étais. Je regarde mon PDA, j’y trouve dedans le plan du jeu, le classement des meilleurs stalkers (je suis 540e au début…), j’y vois mes contacts déjà côtoyés, j’y trouve une encyclopédie de la Zone, c’est complet ! Dans le jeu, j’ai en haut à gauche le plan avec les alliés dans le coin, les gens morts, etc. En bas à gauche, une jauge violette, celle du bruit, un bonhomme me représentant qui change quand je cours ou quand je m’accroupis avec une jauge horizontale de fatigue. Et en bas à droite, la santé, la résistance et les munitions restantes. Tiens, sur le chemin pour retrouver mes collègues, il y a un stalker à l’agonie. Je le soigne, peut-être s’en souviendra-t-il ultérieurement dans le jeu. Je retrouve les stalkers de mon clan, on lance l’assaut sur la ferme. Les ennemis savent se planquer, ils arrivent aisément à me débusquer, me prennent à revers, n’hésitent pas à se mettre à deux pour me canarder. L’IA est déroutante, les munitions rares. La touche Alt permet d’accéder à l’inventaire, il est d’ailleurs bon de savoir que le jeu ne se met pas en pause durant ce temps, alors soyez prudent. C’est pareil quand vous fouillez les corps, à vos risques et périls s’il y a encore des ennemis dans le coin. On peut traîner les corps, les cacher, ce qui sera apparemment une nécessité plus tard. Une fois tout le monde tué, je sauve le zigoto, il me confie une mission secondaire que j’accepte si je veux, je dois trouver un gilet pour lui et lui ramener. Après, je peux le garder son gilet, je ne gagnerais cependant pas la récompense de 4000 roubles, soit quelques francs…

Des promesses tenues

L’IA est donc à la hauteur de nos attentes, les anomalies (ces zones de radioactivité qui tuent sur le champ) sont bien faites, la faune est variée et vivante, tout comme la flore qui rappelle Oblivion. Le cycle jour/nuit fonctionne bien, la météo évolue en temps réel. Voici quelques infos en vrac. Sept fins vous attendent, cinq étant négatives et deux plutôt neutres. Chaque fin dépendra de votre façon de jouer, selon si vous préférez l’argent, les artefacts, etc. La localisation des dégâts est encore en cours, et on ne peut détruire que les caisses contenant des items. Les chargements sont corrects, le jeu tourne bien, il a planté deux fois cependant. On parle d’une cinquantaine d’heures pour finir le jeu et les quêtes, on « pourrait » le finir sans tuer personne, bien que ce soit fort improbable, quasi impossible. Les armes peuvent s’enrayer, elles s’usent, ont leurs caractéristiques (précision, dommages, etc.) et il y aura plusieurs niveaux de difficulté. Le PC sur lequel je jouais était équipé d’un 3500+ avec 2Go de RAM, ça ne ramait pas un poil en 1280*1024. Sachant que le jeu est aussi configuré pour DirectX 8, il n’y a pas d’inquiétude à avoir. Et en prime, voici ci-dessous quelques screenshots inédits pris par mes soins.

25 janvier 2007 à 00h11

Par Robinsoldier

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