Slage : preview et vidéo de gameplay

Slage : preview et vidéo de gameplay

Slage - PC

Genre : Hack'n slash

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Ankama dévoile une nouvelle vidéo de gameplay pour son prochain hit : Slage. Centrée sur le personnage du sacrieur, elle présente des extraits de donjons en extérieur, dont les deux qui étaient jouables pour la première fois lors de la dernière convention, début mars. D'ailleurs, à l'époque, nous avons été parmi les premiers à nous faire la main dessus. Voici ce que ça donne :

Slage : gameplay extérieur par GameHope
Ce hack’n’slash mignon et sanglant à la fois avait fait sensation lors de la cinquième Ankama Convention en dévoilant le premier jeu en 3D d’Ankama. Rappelons-en certains principes : les donjons sont créés aléatoirement (en ne conservant que certains points immuables, c’est à dire la zone de départ, la salle du boss, et quelques salles de résurrection entre les deux), jusqu’à la présence des monstres et la végétation sont modifiés à chaque nouvelle partie, et adaptés au nombre de joueurs (de 1 à 4) ainsi qu’à leur niveau. Trois classes étaient alors présentées : le iop, le cra, et l’eniripsa (pour les non-initiés : le chevalier, l’archer, le soigneur). Lors de la présentation, une quatrième classe a fait son apparition, le sacrieur (un guerrier sanguinaire). Toutes quatre étaient jouables sur le stand, en multi ou en solo, dans des donjons spécialement créés pour l’occasion avec en boss l’un des deux personnages emblématiques du moment : Remington ou Maskemane.
C’était surtout l’occasion d’avoir des retours de la part des joueurs dans une sorte de pré-bêta-test afin d’améliorer le contenu du jeu, tant au niveau de l’équilibrage que des interfaces et de la maniabilité. De notre côté, nous avons joué en multi dans le donjon de Remington, avec la classe eniripsa en compagnie de joueurs assez bourrins. Le iop principalement, qui partait faire des moulinets dans le tas de bestiaux qui s’avançait, pendant que le cra tirait quelques flèches d’appoint et le sacrieur fonçait sur quelques ennemis isolés. Ne nous restait qu’à tenter de les rattraper, enjambant des morceaux de bras, de jambes, de torses, balançant quelques soins pour éviter à ces casse-cous de crouler sous le nombre. De ce fait, l’expérience semblait un peu trop facile : entre les soins de l’eniripsa, les « orbes de vie » qui sont lâchées par les monstres, une potion de soin qu’on peut utiliser une fois par minute et un sort de résurrection (que nous n’avons eu à utiliser qu’une fois, vers la fin du boss), il semblait impossible de perdre. De l’aveu des développeurs, présents sur le stand, les donjons étaient volontairement courts et le niveau simplifié pour permettre à un maximum de monde d’essayer le jeu. Les retours des joueurs étant destinés à équilibrer tout ça ce n’est de toute façon pas une crainte à avoir pour la sortie du jeu (pour laquelle nous n’avons pas de date, mais quoi qu’il arrive ce ne sera pas cette année).
Au-delà de ce qui était présenté sur le stand, où les personnages étaient prédéterminés, l’équipe de développement nous a expliqué quelques fonctionnalités du jeu. On retrouve quelques mécanismes habituels chez Ankama, avec une personnalisation du personnage à sa création (dont la coiffure, comme dans Wakfu), puis un système de drop en donjon et de panoplies à crafter pour l’équipement. Toute préparation se fait en dehors du donjon : le joueur dispose d’une batterie de sorts importante, mais ne peut en sélectionner que 7 pour partir au combat. Certains sont passifs, d’autres s’activent avec la souris, d’autres encore avec les touches du clavier, ce qui est un peu confus à la première prise en main, mais pas idiot en fin de compte puisque l’accès s’en trouve simplifié une fois qu’on a bien intégré les raccourcis. Pour accompagner ces sorts, la barre d’espace permet de déclencher une furie, une attaque dévastatrice qui dure quelques secondes (pour l’eniripsa, on attaque on soigne et on ressuscite en permanence pendant toute la durée de la furie). Celle-ci est disponible lorsqu’une jauge se remplit, grâce à vos actions. En gros, plus vous tapez, plus vite la furie sera disponible ! On nous a aussi confirmé la volonté d’adopter comme modèle économique celui d’un jeu sans système d’abonnement, accessible sans autre condition après l’achat. Les visiteurs qui ont participé à ce premier test public participeront à un tirage au sort pour inviter les premiers bêta-testeurs lors d’une bêta fermée à la fin de l’année 2011, sans autre précision sur la date.

17 mai 2011 à 16h27

Par SiMouth

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