Neamedia Icons Lights : une incursion lumineuse dans le monde du jeu vidéo

Neamedia Icons Lights, maître dans l'art de fusionner la passion du jeu vidéo avec l'esthétique lumineuse, dévoile de nouvelles créations pour les amateurs de jeux. Inspirées par des licences emblématiques telles que Cyberpunk, The Witcher, PUBG, et Assassin’s Creed, les lampes LED de cette collection, en plus d’être des accessoires de décoration, tentent d’incarner l'esprit des jeux, créant une atmosphère immersive au cœur de votre espace personnel.

Arborant un design soigneusement élaboré, chaque détail des lampes évoque l'univers du jeu en question. Dans le cas de notre modèle de The Witcher III, le logo du jeu surmonte la fameuse phrase des sorceleurs « No Witcher’s Ever Died in His Bed » traduisant une vie faite de dangers et d’aventures. Les formes juxtaposées créent une structure unique, mettant en avant le logo du jeu qui s'illumine avec une lueur assez puissante. Bien que constituée de plastique (une largeur de 22cm, une profondeur de 5cm, une hauteur de 8cm et un poids de 400g), la lampe révèle un réel charme une fois allumée. La lumière ambiante, bien que délicate pour le travail prolongé, trouve sa place idéale sous la télévision, le bureau ou votre étagère dédiée au jeu.

L’allumage se fait via un bouton facilement localisable et situé à l’arrière de l’objet. La durée de vie de la batterie, annoncée entre 6 et 12 heures, dévoile une autonomie respectée lors des premières utilisations. Un simple branchement via USB-C suffit pour recharger la lampe en trois heures (le mini câble USB est fourni). Le fait de faire tenir une batterie dans la lampe est louable, mais on aura aimé également un branchement filaire, histoire de ne pas être dans le pétrin une fois la batterie HS. Ainsi, la non remplaçabilité de la batterie soulève des questions environnementales.

En termes de prix, chaque lampe est affichée à 39,90€, ce qui n’est pas donné pour la qualité globale de l’objet. Évidemment, quand on décide de représenter de grosses licences plébiscitées par le public, la licence coûte cher. Pour les fans cependant, elles représentent un investissement correct, entrant dans la catégorie « objet de collection » tôt ou tard.