Test : Diablo III - PS3

Diablo III - PS3
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Après avoir opéré a un carton en règles sur PC l'an dernier, c'est à l'assaut des consoles que Diablo III se lance. Mais est-ce que la version console permet d'offrir une expérience aussi jouissive que sur nos bons vieux ordis ?

Test effectué à partir d'une version PS3

La version console :

C'est un grand oui pour cette adaptation de Diablo III sur consoles. A vrai dire, bien peu de choses à lui reprocher en définitif. En terme de contenu, il reprend tout ce dont bénéficiait la version PC, tout en tenant compte des updates que celle-ci a amassé depuis sa sortie, et donc de ses réajustements (incluant l'amélioration du loot !). De plus, la version console se paie le luxe de ne pas nécessiter une connexion permanente au net, impératif qui avait tant attiré la foudre des joueurs à la sortie de Diablo III. L'hôtel des ventes a aussi disparu, perte ou gain, à chacun d'en décider. Techniquement, on ne peut qu'applaudir des deux mains la conversion de la mouture, même si elle accuse un petit peu le coup graphiquement. Les attaques sont assignées aux boutons de la manette le plus simplement du monde mais finalement, tant sur l'exploration que dans les combats, le clavier et la souris ne manquent pas vraiment. Les menus sont aussi diablement bien pensés, tant pour effectuer ses upgrades que pour se fringuer en armures de toutes sortes. Le multi online ne souffre d'aucun lag et, cerise sur le gâteau, il est possible de jouer à 4 simultanément sur le même écran, avec tout ce que cela implique de convivialité. Cependant, vous risquez peut-être de vous battre quelque peu avec vos coéquipiers puisque le loot est parfaitement personnel, et donc celui qui fouille le cadavre peut tout garder pour sa pomme. Une règle qui, si vous jouez entre bâtards, avantage grandement les personnages comme le Barbare ou le Moine, ceux-ci étant bien souvent collés à la créature qu'ils démolissent... Dernier petit détail ajouté à la version console, l'esquive, qui s'effectue avec un mouvement du stick droit. Très bonne idée pour pallier la difficulté à se sortir d'un combat compliqué à la manette.
Est-il vraiment nécessaire de présenter Diablo ? Premier épisode en 1997, rapidement suivi d'un second en 2000, il a clairement donné le ton du hack'n slash, que l'on appelle aussi en français "porte-monstre-trésor". Ce surnom, certainement inventé au Canada ou à l'époque où Jacques Toubon faisait trembler les anglicismes, définit relativement bien le genre. Dans le langage courant, la série a tellement marqué le genre qu'il est couramment défini en tant que "Diablo-like". Pour ceux n'ayant pas suivi l'histoire, Diablo prend place dans un univers médiéval fantastique. Dans le premier épisode, vous incarniez un guerrier (ou une archère ou un magicien) qui, après de longues heures d'exploration de donjons et de combats tout en clics, réussit à renvoyer le seigneur de la terreur chez lui. Il va d'ailleurs même jusqu'à le suivre au fin fond des enfers pour lui botter les fesses. A la fin du jeu, attention spoil de15 ans inside, le héros enfermait Diablo dans une pierre d'âme noire et se l'enfonçait droit dans le front afin de le contenir. 3 ans plus tard, ce même héros n'est pas parvenu à maîtriser Diablo, le seigneur des enfers en a pris le contrôle et il est en route pour libérer ses deux frères, Mephisto et Baal. Cette fois, 5 classes de personnages étaient disponibles : paladin, nécromancien, amazone, barbare et ensorceleuse.

Satanas et Diablo

On ne vous spoilera pas trop l'histoire du troisième épisode. Sachez toutefois que dans le petit village de New Tristram, c'est un petit peu la panique. Depuis qu'une météorite s'est écrasé au beau milieu de la cathédrale, de bien curieux évènements se déroulent. Pas curieux du genre "un mec qui jongle avec des poissons morts", non. Curieux genre "des morts qui sortent de leur tombe". L'hisoire, Le gameplay de Diablo III n'a quasiment pas changé depuis le dernier épisode en réalité, ce qui n'est pas forcément un mal tant il était addictif. Avec une vue en 3D isométrique, le jeu ne requiert quasiment que l'utilisation de la souris. Très grossièrement, on tue en choisissant ses sorts et attaques à coup de clics sur l'ennemi. On amasse des thunes, et surtout on cherche des items pour s'équiper de la manière la plus efficace possible. Le côté role play, qui de base n'était déjà pas très poussé dans les précédents épisodes, est maintenant réduit au strict minimum. Il se limite en réalité surtout à la customisation de son personnage, avec quelques nouveautés mais aussi pas mal d'options en moins hélas. L'histoire n'est pas vraiment poussée non plus, et fait ouvertement office de prétexte au massacre. Pourtant, les nostalgiques des épisodes précédents auront probablement beaucoup de plaisir à voir tous les clins d'oeil aux premiers Diablo que Blizzard a disséminé ça et là dans l'aventure. On retiendra particulièrement des retrouvailles larmoyantes avec un boss bien connu des joueurs (Aaaah... FRESH MEAT). Ici, 5 personnages sont disponibles, avec pour chacun le choix entre un beau mâle ou une jolie gonzesse. Il y a un féticheur (à ne pas confondre avec un fétichiste), un moine qui parle comme Boris le Hâchoir dans Snatch, un chasseur de démons qui ne rigole pas beaucoup, un barbare à moitié nu et un sorcier un peu jeune à mon goût pour pratiquer ce métier.

They see me lootiiiiiiiiing !

Le moine, avec son accent à couper au couteau, est un petit peu le Jacky Chan du casting. Il privilégie le corps à corps en règle général et le déplacement rapide lorsqu'il le faut. Finalement à mi-chemin entre un barbare et un magicien, il est un assez bon compromis. Il n'a pas d'attaque à distance mais ses coups ont une portée assez longue, lui permettant de se tenir à distance respectable, surtout lorsqu'il utilise un cercle de protection empêchant les ennemis de pénetrer dans une certaine zone autour de lui. A mesure qu'il progresse, il peut aussi activer des compétences passives lui octroyant des bonus et des mantras, qui donnent aussi des avantages mais pour une durée limitée.
Le demon hunter est assimilé au creep emo-gothique du fond de la classe à qui personne ne parle mais qui finit toujours par compter dans une baston dans la cours de récré. Usant d’une grande variété de sorts à distance ainsi que d’autres qui nécessiteront d’être plus au contact de vos ennemis, il possède une bonne chiée d’attaques de zones qui feront du chasseur de démons un allié très utile lors de combats où affluent beaucoup d’ennemis. La mise en place de pièges est aussi possible et très utile puisqu’ils protègent vos potes (surtout ces pédales de sorciers) des démons qui peuvent venir leurs chatouiller les orteils. La roulade du demon hunter, qui ressemble plus ou moins à la téléportation du sorcier, lui permet d’entrer ou de s’échapper rapidement des cohortes de monstres, ce qui s’avère indispensable. Au final, il est le croisement entre Brian Joubert, Hawkeye et Stallone dans Rambo 2 dans un spectacle qui pourrait s’intituler Chuck Norris on Ice. Du lourd de sourd gros.
Si je vous dis asticots, pourriture, zombies et nécrophilie vous me répondez ? Nécromancien ? Et vous n'êtes pas tombé loin ! Lointain cousin de celui ci le féticheur rappellera des souvenirs à tous les anciens joueurs de Diablo 2. Grand fan de 30 millions d'amis au cimetierre, défend les terres de Sanctuaire en invoquant des compagnons morbides et autres âmes damnées. Difficile au démarrage à cause de sa fragilité et de ses dégâts sur le long terme, c'est avec le temps que ce personnage se bonifie. Au fur et à mesure, plusieurs choix s'offrent à lui quant à la manière de punir les assaillants : d'un côté il use et abuse des dégâts de zone via ses animaux préférés (chiens qui encaissent les coups, batraciens en goguette, chauves-souris enflammées, araignées bondissantes), et de l'autre il peut atomiser son vis-à-vis grâce à sa sarbacane toxique et ses âmes qui hantent l'esprit, le tout sous couvert d'un fétiche qui transforme les ennemis en poulet. Un personnage qui, bien joué, a son importance dans les niveaux de difficulté les plus élevés.

Un Diablo menthe siouplé !

Vous vous baladez avec des amis quand un groupe de personnes s'approche l'air menaçant... Vos potes se disent peut être qu'ils ne vont faire que pass... trop tard vous êtes déjà en train d'éclater des crânes et de piétiner des bijoux de famille en rugissant tel le tigre de Frosties qui est en vous. Aucun doute, le barbare, c'est votre came. Ici pas de finesse ni de planque derrière des pièges ou autre, LE CONTACT y'a que ça de vrai ! Et il ne faudra pas rechigner à se jeter dans la mêlée si vous voulez alimenter votre jauge de furie et déclencher les attaques les plus dévastatrices du barbare. Coups puissants, saignements, sauts et cris de guerre, tout est fait pour que votre personnage soit au coeur de la mêlée. Sa grande résistance couplée à ses dégâts amplifiés font de lui un personnage idéal lors des affrontements de masse où il ne peut en rester qu'un. Attention toutefois à toujours avoir de la furie en réserve sans quoi le barbare se trouve vite limité dans ses choix. À plus haut niveau, il peut invoquer 3 légendes barbares dotées chacune de compétences uniques pour maximiser son carnage. Et puis, quel jouissance que de voir ses ennemis voler dans le décors à chaque coup porté...
Maître de l'énergie des arcanes, le sorcier se la raconte un peu avec son air sérieux, genre premier de la classe, tout le long de l'histoire. La majorité de ses attaques sont à distance, à la manière de la magicienne de Diablo 2, boules de feu et autres foudroiements ravageurs en tête. Toutefois ce dernier ne se limite pas aux attaques élémentaires (feu/éclair/glace) puisqu'il maitrise toutes sortes d'énergies lui permettant par exemple d'engluer ses ennemis dans la terreur la plus profonde. Dans la plus pure tradition de sa classe, le magicien est fort de loin mais loin d'être fort puisque s'il est capable de faire tomber des pluies de météorites sur ses ennemis, il peut aussi sauter d'un coup en prenant une grosse baffe pour peu qu'un ennemi réussisse à l'atteindre.
Pour palier à sa faiblesse et ne pas se retrouver au milieu d'un champ de bataille, par exemple lors d'une attaque surprise, certaines de ses capacités défensives lui permettent de s'extirper d'une mauvaise situation. Par exemple, s'il est victime d'une attaque surprise, il peut invoquer une bulle temporelle lui permettant de ralentir le temps dans une zone donnée afin de lui donner l'avantage, par exemple, en prenant ses jambes à son cou.

Clic clic clic clic clic clic clic clic clic clic clic clic (je joue à Diablo)

Il est intéressant de constater que depuis la bêta du jeu, pas mal de choses ont été supprimées. Par exemple, on pouvait invoquer des familiers pour ramasser son or derrière ses petits massacres, il y avait encore des parchemins (sorts à usage unique), etc. Une chose est sûre, cet épisode a eu la consigne claire de simplifier et faciliter au maximum les choses. Le Diablo le plus user friendly jamais conçu, c'est ce qui frappe le plus à mesure que l'on progresse dans l'aventure. Les retours à la ville se font grâce à un sort de intégré de base au personnage, et la seule contrainte est qu'il a besoin de quelques secondes pour charger. Exit donc, les parchemins de Town Portal, et toutes autres sortes de parchemins d'ailleurs. Ce qui est le plus frappant, c'est l'évolution des personnages. Les points de compétence (dextérité, intelligence, force, etc) se répartissent maintenant sans que nous n'ayons notre mot à dire à entre chaque niveau. De cette manière, chaque personnage progresse exactement de la même façon qu'un autre de la même classe. Les sorts et capacités se débloquent au fur et à mesure que l'on évolue, et il tient à nous en revanche de faire les bons choix en fonction des situations qui se présentent. L'intérêt, c'est bien entendu qu'aucun choix n'est définitif au final, et que le panel de coups est bien plus étendu. Mais dans l'absolu, on se retrouve donc avec des persos qui, à un même niveau et à poil, sont tous parfaitement similaires. On regrettera quelque peu ce choix de la part de Blizzard, qui dans un sens élargit grandement son public, mais fait perdre un petit peu de l'essence de Diablo à sa série. Le fait de faire des choix sur lesquels on ne peut revenir, de se donner des objectifs et d'évoluer son personnage dans ce sens, c'est un challenge qu'il n'y aura plus dans Diablo hélas.
On ne peut plus non plus enchanter ses armes, et les vendeurs ne proposent que rarement du matos de qualité. En revanche, on appréciera les évolutions du forgeron, qui permettent de se fabriquer des armes autrement plus efficaces à terme. Un joailler a fait son apparition, avec un principe d'évolution lui aussi. Certains équipements magiques offrent des slots vides, dans lesquels on peut sertir des gemmes offrant divers bonus en fonction de leur qualité et de leur type. Il faut savoir qu'il en existe pléthore, et que trouver des gemmes de mauvaises qualité permet de les fusionner grâce au joailler en gemme supérieure. Celles-ci se fusionnent entre elles, et au final les bonus peuvent devenir surpuissants pour peu que l'on ai fait aussi évoluer le magasin. On retrouve le plaisir des quêtes à "loot", où l'on massacre à tire la rigaud en espérant trouver l'objet rare de ses rêves, si possible adapté à sa classe de personnage. Et c'est là que Diablo III est vraiment terrifiant. Malgré la redondance des actions et une formule light, il est toujours aussi accrocheur, hypnotisant, et rend dépendant. Nan vraiment hein, comme une drogue. L'ambiance est plutôt réussie, certes un peu moins dark qu'à l'époque du premier opus, mais il reste très agréable. Blizzard a fourni un gros boulot graphique, particulièrement sur les décors qui se renouvellent fréquemment et rivalisent de beauté. Du désert à l'anti-chambre des enfers en passant par de sombres donjons ou des végétations luxuriantes, ceux-ci sont diversifiés et diablement réussis. De plus, on appréciera les jolies giclées de sang graphiques dont se gorgent les terres que l'on foule après notre passage, ainsi que la destruction potentielle de beaucoup d'éléments autour de nous. Parfois on y trouve des trésors, d'autres servent à piéger les ennemis, sous des décombres par exemple...

"Au nom du seigneur je vous botte le cul". Braindead.

Pour ceux n'ayant pas la chance de connaître le mode de fonctionnement d'un Diablo, sachez que celui-ci ne doit pas s'arrêter à la fin du jeu, loin de là. A vrai dire, le premier run, c'est à dire la première fois que vous terminez l'histoire, est une balade de santé en terme de difficulté. D'ailleurs, vous serez loin d'avoir un personnage à son niveau maxium après votre première fin et vous n'avez pas vu un quart des objets proposés par le jeu. L'intérêt est véritablement de recommencer le jeu, si possible à plusieurs, en mode Cauchemar puis en Armagueddon. Et dès le second tour, le challenge devient beaucoup plus intéressant. Vous pourrez aborder tous les modes de jeu avec des potes, en essayant de convenir des meilleures stratégies. Attention toutefois à ne pas rejoindre des parties où les niveaux sont trop hauts pour vous, vous risqueriez de vous faire douiller très très rapidement. Un frein est toutefois posé par les développeurs et vous ne pouvez pas rejoindre une partie de niveau supérieur si vous n'avez pas achevé le niveau dans lequel vous vous trouvez au moins une fois. A plusieurs, affronter un boss des enfers devient carrément jouissif car beaucoup plus technique. Les joueurs choississent des constructions de personnages en fonction de celles de leurs adversaires. De plus, les rôles peuvent changer en fonction de la composition d'une équipe. Par exemple, il est habituel de mettre un gros barbare en "tank", c'est à dire qui occupe une grosse bête avec sa résistance hors paire pendant que ses potes frappent de loin et le soignent. Mais en cas d'absence de cette classe, le moine peut éventuellement prendre ce rôle, à condition de lui attribuer tous les sorts, mantras et coups qu'il faut. Il suffit de faire les bons choix dans la construction de son personnage.
Avouons le, c'est la soif de puissance intarissable qui nous fait recommencer le jeu, encore et encore. Le loot, ou encore chasse aux items, est dans Diablo III terriblement addictif comme vous vous en doutez. Ceux-ci sont disposés de façon semi-aléatoires, et partir à leur recherche en zigouillant à tout va est un des plus grands plaisirs que procure Diablo. La fierté qui nous innonde lorsque l'on trouve un meilleur équipement que celui que l'on porte actuellement est indescriptible. Ouaip, le bonheur ça ne tient parfois pas à grand chose. L'échange entre les joueurs est favorisé, vous bénéficiez même d'un coffre en ville pour entreposer vos objets. Dans ce sens, et pour courcircuiter le marché noir, Blizzard a mis en place un hôtel des ventes. Les objets que vous ramassez, vous pourrez ainsi les mettre aux enchères avec une somme de départ et même une somme d'"achat immédiat". Le principe est simplissime, il n'y a même pas besoin de parler avec notre vendeur. Là où la chose est plus étonnante, c'est que certes, vous pouvez l'acheter en pièces d'or du jeu, mais aussi en argent réel. Et comme vous pouvez vous en douter, Blizzard prendra une commission sur la vente. En revanche, on ne pourra que crier sa haine à l'égard de l'éditeur en ce qui concerne la connexion permanente que le jeu requiert, même en mode solo. Le système, déjà à la base un petit peu abusé, connait de plus pas mal de soucis des serveurs ce qui est absolument inacceptable. Se faire déconnecter en plein milieu d'un combat de boss en mode solo est une frustration qu'aucun éditeur ne nous avait encore offerte, et c'est maintenant chose faite. Mais force est de constater que lorsque le titre fonctionne, il est diabolique.

Diablo III ne déroge pas à la série et se veut terriblement addictif. Plus grand, plus épique, plus beau, plus varié, et bénéficiant d'un bestiaire gigantesque, il va poser de sacrés soucis de sommeil aux joueurs dans les mois suivant sa sortie. Certes, les fans des anciens épisodes risquent d'être un petit peu déçus du côté "user friendly" avec ses évolutions de personnage automatiques, mais le choix des builds de personnages proposé devrait rapidement palier le manque. Enfin, malgré le fait que demander une connexion internet même en solo soit parfaitement inadmissible (surtout en proposant des serveurs saturés), Diablo III propose une replay value tellement gigantesque que passer à côté serait une hérésie. Sauf si vous tenez absolument à entretenir une vie sociale, mais franchement c'est surfait.
La version consoles de Diablo III est un carton plein. Bénéficiant de tous les ajustements effectués par Blizzard depuis sa sortie sur PC, il peut aussi compter sur un gameplay manette efficace et ne nécessitera, lui, pas de connexion permanente ! Cerise sur le gâteau, il propose de jouer jusque 4 joueurs simultanément sur le même écran. Les hérétiques étant passés à côté de l'expérience sur PC devraient se ruer sur sa version console, qu'on se le dise.
03 septembre 2013 à 15h40

Par

Points positifs

  • Ergonomie à la manette bien pensée
  • La coop' à 4
  • L'esquive, bien pratique
  • Pas de connexion permanente requise
  • Replay value colossale
  • Le loot, c'est la vie
  • Des décors sublimes
  • L'hôtel des ventes pratique et bien foutu
  • Bestiaire beau et varié
  • C'est Diablo
  • C'est Diablo
  • C'est Diablo merde !

Points négatifs

  • Moins fin que les version PC, évidemment
  • Premier run en mode normal un peu trop facile
  • L'évolution du personnage dirigiste

Gribouillé par...

JoKeR

JoKeR

Rédac' Chef

Présent sur le site depuis belle lurette, JoKeR est un homme à tout faire, entre la rédaction, la publication et la gestion des relations presse.
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