Preview : Earth Defense Forces 4.1 : The Shadow Of New Despair - PS4

Earth Defense Forces 4.1 : The Shadow Of New Despair - PS4
Partager
Les japonais sont connus pour avoir des goûts extravagants. Il suffit d’allumer la TV pour se retrouver devant des shows télévisés plus débiles les uns que les autres. Dans le jeu vidéo c’est pareil, entre un jeu de drague avec des pigeons, une cheerleader chasseuse de zombies ou un yakuza se battant à main nues contre un ours, on a de quoi faire. Aujourd’hui nous allons étudier le cas d’Earth Defense Force 4.1 .
La série des Earth Defense Force ou EDF (à ne pas confondre avec vous savez qui) est bien installée au Japon et possède son public. Si le concept est peu connu en France, c’est peut-être parce qu’un jeu à base de Kaiju (monstre géant japonais à la Godzilla) n’est pas commun dans notre culture comme il l’est là-bas. Le jeu est en fait un shoot façon TPS où il vous faudra dégommer tout ce qui bouge.

Oh mon dieu mais c’est énorme !

Pour le moment tout va bien. Maintenant si je vous dis que vos cibles sont des fourmis géantes de l’espace qui sont là pour dévorer chaque habitant de la mégapole que vous vous devez de protéger, vous faites moins les malins ! Vous pourrez incarner différents soldats des EDF afin de bourriner dans le tas, car le jeu ne fait pas dans la finesse. Lors du test effectué pour cette preview, c’est une sorte de valkyrie des temps modernes que nous avons pu tester avec un jet-pack qui nous permettait de nous envoler, une arme de corps à corps qui réduisait en charpie les pauvres fourmis carnivores se trouvant à portée et, enfin, un gros bazooka à plasma qui était également disponible pour faire le travail.

Et même encore plus !

C’est quand on pense avoir atteint le summum de la démesure que l’on se fait encore surprendre. Apres avoir dégommé une vingtaine de fourmis, voilà qu’un Kaiju au design tout droit sorti de Pacific Rim entre en scène et commence à détruire la ville à l’aide de rayon laser ultra puissants. Il faut dire qu’il est jouissif de voler autour de cet immense bête pour lui mettre des coups de plasma dans la tronche. Mais ça l’est encore plus quand les EDF mettent à disposition un mécha encore plus grand avec lequel il vous faudra puncher le monstre sans état d’âme. Jouissif je vous dis.
EDF symbolise le choc culturel qu'il peut y avoir entre les jeux bien japonais et les attentes occidentales. Le jeu semble d'abord être un gros nanard qui vas nous amuser 5 minutes. Pourtant on se laisse envoûter par le bordel ambiant qui règne sur le champs de bataille et l'on persiste pour obtenir des armes encore plus puissantes afin de bouter hors de notre planète des monstres encore plus gros et insolites. Si vous êtes curieux, les précédents opus sont disponibles en France, et comme on dit au Japon, c'est un "osusume".
20 septembre 2014 à 06h04

Par Wildchoc

Gribouillé par...

Wildchoc

Wildchoc

Tanuki lubrique

Le wildchoc sauvage est un petit animal farouche au poil soyeux. Passionné de jeux vidéo il ne sort que très peu souvent pour subvenir à ses besoins naturels tels que se nourrir et se reproduire. Il est cependant facile d'en capturer un en faisant résonner à l'extérieur de sa tanière une douce musique Chip tune. Pourquoi en attraper un ? Ils font en général de très bon coussins.

Twitter : @wildchoc01

Revenir en haut