Rentrons directement dans le vif du sujet,
Mario Kart 8 est plutôt simplement le jeu auquel vous vous attendez à jouer manette en main. Nous avons pu essayer 3 courses différentes, qui sont parfaitement dans la veine de ce que vous avez déjà pu essayer dans les épisodes précédents. C'est coloré, joyeux voire bisounours. Les plantes carnivores attaquent les voitures, il y a des tremplins, des accélérateurs, des bonus (pas d'armes ou d'avantage inédit constaté hélas), des champignons qui se grimpent dessus en pyramide au milieu de la route (comportement fongiesque un peu curieux) ... Les véhicules se transforment, la trottinette aéroglisseur peut déployer un joli deltaplane par exemple. Et effectivement, c'est une feature qui était déjà existante dans le dernier opus 3DS. Rien de bien nouveau sous le soleil, même le choix des personnages qui comprend tous ceux du casting sempiternel, excepté Toadette, la gonzesse de Toad. C'est Toad en violet. Voilà voilà.
Mario Kart Sim
La seule vraie nouveauté est la possibilité d'aborder certaines parties des niveaux sur les murs et le plafond, comme si la gravité n'était plus une donnée si importante que ça, et après tout pourquoi pas. Enfin, il est toujours possible de jouer avec la reconnaissance de mouvement (ressortez votre vieux volant et votre wiimote). Avoir la mablette permet d'avoir le choix, soit le stick, soit la reconnaissance. Mais clairement, jouer sans reconnaissance permet un confort de jeu bien plus précis et agréable. Enfin, il y a une donnée importante qui fonctionne un petit peu avec tous les titres présents sur le booth
Nintendo de cet E3, c'est beau. C'est con, mais on est tellement habitué à voir les personnages de
Nintendo pixelisés que les voir en HD fait nécessairement son petit effet et sublime l'expérience. C'est pas du jeu parce qu'ils sont en retard et en profitent, mais bordel, c'est cool.