Preview : Tom Clancy's Ghost Recon Wildlands - Xbox One

Tom Clancy's Ghost Recon Wildlands - Xbox One
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Ubisoft a profité de la Paris Games Week pour dévoiler un peu plus le prochain Ghost Recon. L’occasion pour nous d’en apprendre un peu plus sur l’un des jeux les plus attendus de 2017.


La démo était jouée en live par quatre développeurs présents dans la salle. Elle a débuté par la personnalisation de l’un des avatars. Pour bien montrer que ce n’était pas une vidéo que nous regardions, le choix des divers éléments était soumis au vote des spectateurs. Pour des raisons pratiques évidentes, seules quelques pré-configurations étaient proposées ici. Mais l’ensemble a l’air plutôt bien fourni. Nous verrons durant le test s'il offre une bonne liberté de création.

Mais passons aux choses sérieuses. La mission montrée ici se déroulait juste avant celle dévoilée durant l’E3 dernier. Il s’agit ici de trouver des informations pour localiser El Pozolero, le "spécialiste en cadavres" du cartel. Celles-ci sont stockées sur un ordinateur, lui-même situé dans une prison. Les ghosts doivent donc s’infiltrer à l’intérieur du complexe. Pour ce faire, ils ont décidé de se séparer. Deux ghosts vont jouer les snipers de chaque côté de la prison (celle-ci est dans une cuvette), tandis que les deux autres vont entrer par la porte de devant, comme des bonhommes.


Mais plutôt que de la jouer comme des gros bourrins, ils décident de voler un véhicule du cartel dans un avant-poste à proximité. Ce qui leur permet d’entrer dans la prison incognito. Ceci étant dit, le 4x4 n’est pas un totem d’invisibilité non plus. Les deux soldats infiltrés doivent donc éviter de trop se rapprocher des gardes pour ne pas se faire repérer. C’est là que les deux snipers entrent en scène. Ayant pris position sur les hauteurs, aux abords de la prison, ils ont une vue imprenable sur l’intérieur de celle-ci. Ils peuvent donc marquer les ennemis, indiquant ainsi leur position au reste de l’équipe, et les abattre si besoin. De même, ils peuvent guider les infiltrés dans leur avancée. 


Assez rapidement, les ghost sont obligés d’abandonner leur véhicule pour progresser dans les allées sombres et étroites du complexe, toujours dans la discrétion. Ils en profitent pour poser des charges de C4 un peu partout en prévision de leur fuite. L’un des snipers s’infiltre dans la prison via un accès dérobé afin de déployer un drone. Avec ce dernier, il peut survoler la zone et marquer de nombreux d’ennemis. L’utilisation de la vision infrarouge lui permet de voir les soldats à travers les cloisons fines, de repérer le générateur qui alimente le complexe, ainsi que l’appareil à pirater.

Le bâtiment dans lequel se situe l’ordinateur est particulièrement bien gardé. Les ghost utilisent donc la fonction de tir simultané pour éliminer les soldats à l’entrée. Une fois à l’intérieur du bâtiment, l’un des soldats commence le piratage tandis que le second élimine les ennemis s’approchant un peu trop. Ce faisant, il finit par se faire repérer et l’alerte est donnée. L’extraction se fait alors dans un déluge de balles et d’explosions.


Les possibilités tactiques qu’offre ce Ghost Recon Wildlands sont incontestables. Nous en avons eu un autre exemple ici. Comme à l’accoutumée, le travail en équipe sera au centre du gameplay. Cependant, des questions restent encore en suspend. Comment l’IA alliée se débrouillera dans ce monde ouvert ? Et comment se structurera le jeu ? Le premier point peut éventuellement nous pourrir la vie. Tandis que le second peut rendre le jeu répétitif et lassant, malgré un gameplay aux petits oignons. Nous espérons sincèrement que les équipes d’Ubisoft Montreuil y apporteront des réponses satisfaisantes. Car à ce que nous en avons vu, Ghost Recon Wildlands a le potentiel pour devenir un véritable incontournable.
02 novembre 2016 à 10h56

Par pattoune

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pattoune

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Ours savant

Davantage ours que savant, ce con n'a pas compris que l'hibernation c'est en hiver. Résultat, il reste cloitré dans sa grotte à longueur d'année. Ce qui arrange bien du monde. Mais ce n'est pas un mauvais bougre. Il est même plutôt drôle à l'occasion. C'est souvent à ses dépens mais chut, il faut pas le dire. Ayant été récemment rattrapé par l'eau courante et l'électricité, il est désormais en mesure, après avoir difficilement assimilé les bases de l'hygiène corporelle, de nous livrer tests, news et autres contenus enchanteurs. Il nous reste plus qu'a espérer qu'il ne lui vienne pas l'idée de faire prendre un bain à son PC... Trop tard.
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