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SHADOW : le cloud computer des gamers à la française
Sommaire
Malgré les quelques problèmes rencontrés et certaines réserves, je suis conquis par ce Shadow et par la démarche de l'entreprise. Son offre s'adresse en priorité aux gamers PC qui ne souhaitent pas investir dans une lourde configuration, par manque de place, d'envie ou à la rigueur même de moyen.
Car l'économie de Shadow est solide. Trois formules d'abonnement existent, de 29.95 €/mois sur 1 an à 34.95 €/mois pour trois mois et enfin 44.95 €/mois sans engagement. Le calcul est plutôt simple : à ce tarif, on possède donc l'équivalent d'une fort bonne machine capable de faire tourner à haut niveau de détails les jeux actuels et les prochains qui sortiront. Et en plus on s'évite tout problème de mise à jour et de maintenance, car Shadow incorpore ces aspects dans le tarif et s'occupe également des sauvegardes et réparations en cas de panne. Idem pour les mises à jour des cartes graphiques, des drivers spéciaux et compagnie. Somme toute, un service complet plutôt sérieux.
Les gamers plus hardcore ne verront peut-être pas d'intérêt à la chose et préféreront investir fortement dans du matériel qui leur appartient, quitte à revendre ce dernier par la suite et à updater tous les ans ou tous les deux ans leur hardware. On les comprend et on ne saurait leur opposer la logique du Shadow.
Pour les autres, en particulier ceux qui hésitent à investir dans une configuration avancée, qui ne savent pas s'ils auront encore beaucoup l'occasion de jouer, ou qui ne veulent tout simplement plus d'une énorme tour et sont très heureux de jouer en streaming sur leur télé, leur portable, ou même la tablette et le téléphone (car oui, le Shadow le permet !), et bien clairement cette offre propose des perspectives immensément intéressantes.
Sans compter que Blade réfléchit à faire évoluer son service et compte à terme proposer un packaging d'options plus ou moins sur mesure à ses abonnés : ajout d'une GTX 1080 Ti, ajout d'espace sur le SSD, évolution des cartes graphiques lors des nouvelles séries, et enfin peut-être uniquement une connexion via le client Windows pour un service moins puissant. Le tout dans une grande flexibilité et sans contraintes excessives : rappelons qu'on peut arrêter son abonnement du jour au lendemain si on le souhaite !
Car l'économie de Shadow est solide. Trois formules d'abonnement existent, de 29.95 €/mois sur 1 an à 34.95 €/mois pour trois mois et enfin 44.95 €/mois sans engagement. Le calcul est plutôt simple : à ce tarif, on possède donc l'équivalent d'une fort bonne machine capable de faire tourner à haut niveau de détails les jeux actuels et les prochains qui sortiront. Et en plus on s'évite tout problème de mise à jour et de maintenance, car Shadow incorpore ces aspects dans le tarif et s'occupe également des sauvegardes et réparations en cas de panne. Idem pour les mises à jour des cartes graphiques, des drivers spéciaux et compagnie. Somme toute, un service complet plutôt sérieux.
Les gamers plus hardcore ne verront peut-être pas d'intérêt à la chose et préféreront investir fortement dans du matériel qui leur appartient, quitte à revendre ce dernier par la suite et à updater tous les ans ou tous les deux ans leur hardware. On les comprend et on ne saurait leur opposer la logique du Shadow.
Pour les autres, en particulier ceux qui hésitent à investir dans une configuration avancée, qui ne savent pas s'ils auront encore beaucoup l'occasion de jouer, ou qui ne veulent tout simplement plus d'une énorme tour et sont très heureux de jouer en streaming sur leur télé, leur portable, ou même la tablette et le téléphone (car oui, le Shadow le permet !), et bien clairement cette offre propose des perspectives immensément intéressantes.
Sans compter que Blade réfléchit à faire évoluer son service et compte à terme proposer un packaging d'options plus ou moins sur mesure à ses abonnés : ajout d'une GTX 1080 Ti, ajout d'espace sur le SSD, évolution des cartes graphiques lors des nouvelles séries, et enfin peut-être uniquement une connexion via le client Windows pour un service moins puissant. Le tout dans une grande flexibilité et sans contraintes excessives : rappelons qu'on peut arrêter son abonnement du jour au lendemain si on le souhaite !
C'est un fait, il y aura désormais un « avant » et un « après » Shadow. La technologie de Blade est renversante sur ses possibilités et ce qu'elle offre. On osait à peine l'espérer et ces français l'ont fait. C'est un résultat remarquable, salué par une levée de fonds de 17 M€ et d'aujourd'hui plus de 3000 clients en service. Demain, c'est l'Europe et le reste de l'international que vise Blade : une belle ambition, que ne dédaigneraient pas les esprits libres et forts que représentent les joueurs exigeants que nous sommes.
Tout n'est pas encore parfait et l'on sera très vigilant sur l'évolution de la société. Les promesses sont bel et bien là et l'on se surprend à parier du meilleur pour la suite. Souhaitons que Blade ait les épaules assez solides et une vision assez claire de son marché pour confirmer sa lancée et devenir l'acteur incontournable du cloud gaming qu'elle est en droit d'ambitionner.
Rendez-vous pour la suite à l'occasion de la livraison du boîtier et du test final ! Mais aujourd'hui, voilà qui est déjà fort prometteur.
Tout n'est pas encore parfait et l'on sera très vigilant sur l'évolution de la société. Les promesses sont bel et bien là et l'on se surprend à parier du meilleur pour la suite. Souhaitons que Blade ait les épaules assez solides et une vision assez claire de son marché pour confirmer sa lancée et devenir l'acteur incontournable du cloud gaming qu'elle est en droit d'ambitionner.
Rendez-vous pour la suite à l'occasion de la livraison du boîtier et du test final ! Mais aujourd'hui, voilà qui est déjà fort prometteur.
01 juin 2017 à 09h31
