Gamekult.com : Revue de presse sur GameHope.com

Star Ocean 5 : Integrity and Faithlessness - PS4

Star Ocean : Integrity and Faithlessness est un jeu aussi étrange que son sous-titre, où les grandes et belles ambitions ont manifestement dû composer avec des moyens limités. Comme un RPG ancienne école qu'on aurait encastré dans un écrin rutilant, le titre se limite à une toute petite vingtaine d'heures de jeu sur une planète paradoxalement étriquée, une aventure où l'on peine à s'impliquer étant donné la mise en scène minimaliste et le peu d'interactions possibles. Si le scénario y gagne en rythme et parfois en panache, on reste malgré tout sur sa faim au bout du compte, faute d'environnements variés et de séquences vraiment spectaculaires. Le punch, on le trouvera dans le système de combat et l'exploration sans transition...

Référence : 04/07/2016

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Lego Star Wars : Le Réveil de la Force - PS4

Lentement mais sûrement, la série LEGO tente d'évoluer qualitativement, à défaut de réviser en profondeur son gameplay, qui a de toutes façons le mérite d'être à la fois fun et accessible. Après un LEGO Batman 2 LEGO Marvel’s Avengers plein de bonnes intentions mais finalement un peu décevant en ce qui concerne le monde ouvert et le doublage, LEGO Le Seigneur des Anneaux Star Wars Le Réveil de la Force propose une recette plus cohérente. Le monde ouvert mode libre se révèle bien plus intéressant grâce aux quêtes, aux trésors à dénicher et plus généralement à la variété de ses environnements, et l'on a droit à un doublage de qualité, puisque directement issu du film. Mieux rythmé, un peu plus...

Référence : 01/07/2016

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The Technomancer - PS4

Suprême de volaille cuit à la loupe. Jusque dans sa fin expédiée sans tambours, The Technomancer porte malheureusement les stigmates des productions précédentes de Spiders, un studio qui veut tout faire en grand mais n'a pas les moyens de ses ambitions. Difficile d'accoucher d'une grande fresque RPG convaincante quand le terrain de jeu se limite à trois villes et quelques minuscules coins de cartes vides. Mécaniquement, les allers-retours se multiplient tout comme les répétitions, et la lassitude guette. Difficile aussi de construire son jeu autour d'un système de combat usant, plus joli à regarder que précis et fin à prendre en main, surtout après des pointures comme The Witcher 3 ou Batman Arkham. Difficile enfin, mais pour le joueur cette...

Référence : 28/06/2016

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Zero Time Dilemma - PSVita

Zero Time Dilemma est l'aboutissement audacieux du concept de multivers, un prolongement habile et décomplexé de toutes les thèses scientifiques et science-fictionnelles établies avec 999 et VLR. Les principaux changements de cet épisode s'avèrent globalement judicieux, même si le Decision Game n'offre pas la subtilité et le niveau d'implication de son prédécesseur, qui s'inspirait du dilemme du prisonnier. Inespérée et suscitant en même temps d'immenses attentes, cette lettre d'amour respectueuse de son public n'oublie pas de répondre aux questions fréquemment posées, mais n'atteint probablement pas les sommets émotionnels de ses prédécesseurs malgré une transformation cinématique réussie, quoique ternie par une technique anormalement faiblarde sur PS Vita. Mais peu importe que votre coeur balance pour Junpei, Akane, Sigma ou Phi, à...

Référence : 27/06/2016

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Mighty No. 9 - PS4

Au regard de toutes les promesses démesurées, des 4 millions de dollars accumulés, de la confiance qu'ont accordée plus de 67.000 contributeurs, des innombrables produits dérivés lancés en dépit du bon sens, des premiers concept arts dont plus rien ne transpire dans le jeu final, des retards maboules qui ont ralenti la production, des déboires chaotiques qui ont émaillé le lancement, des soucis de finition délirants qui se retrouvent une fois dans le jeu, des cut-scenes toutes cramées qui n'auraient même pas eu leur place sur PSone, des saccades infernales entre deux explosions alors que tout est vide et laid, de la repompe éhontée du concept, du character design qui ne laissera pas le moindre souvenir aussitôt le générique de...

Référence : 24/06/2016

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Umbrella Corps - PC

Difficile de trouver un quelconque intérêt à Umbrella Corps, tant le fond et la forme sont au ras des pâquerettes. Piochant allègrement dans tout ce qui existe et l'exécutant sans aucun brio, le titre ne retient de Resident Evil que son côté pataud, qui n'a pour le coup absolument rien à faire dans un shooter compétitif. Vous l'aurez compris, il vaudra mieux laisser cette carcasse pourrir dans un coin et allez s'éclater sur un Killing Floor 2, vendu quelques euros de moins.

Référence : 22/06/2016

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Grand Kingdom - PS4

Grand Kingdom paraphe sans encombres le contrat du RPG tactique japonais bien ficelé, bâti sur un système de combat / action assez riche et dynamique pour fermer les yeux sur pas mal de petits défauts de conception. Ah, si seulement le jeu avait pu bénéficier de la patte artistique de Vanillaware époque Grand Knights History, son frère jumeau jamais sorti hors d'Europe, sans doute qu'on aurait été plus clément sur l'aspect générique de ses personnages et de son scénario. Ici, on joue avant tout pour la mécanique, mû par le désir de monter ses petites équipes au gré de combats et de cartes il est vrai répétitifs, mais assez plaisants pour y engloutir de nombreuses heures sans les voir passer,...

Référence : 22/06/2016

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Sherlock Holmes : The Devil's Daughter - PC

Qu'il est dommage de voir Frogwares faire le pas de trop, après un Crimes et Châtiments particulièrement bien dosé. S'il n'a rien de catastrophique, The Devil's Daughter part malheureusement trop dans toutes les directions pour rejoindre le podium des meilleurs épisodes. Trop d'action et trop de mini-jeux, pour un titre qui aurait eu tout intérêt à laisser plus souvent la main et la réflexion au joueur. Reste toujours ce petit charme désuet qui a su fédérer une communauté de fans - même au delà des années 2000 - cette fois mis au service de quatre enquêtes plutôt sympathiques à défaut d'être transcendantes. Si les titres un peu râpeux ne vous effraient pas et si zapper un instant de jeu plutôt...

Référence : 09/06/2016

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Mirror's Edge Catalyst - PS4

Un prêté pour un rendu. Pour chaque défaut majeur évacué par DICE entre Mirror's Edge et sa suite Catalyst, le studio suédois en crée accidentellement un autre, au point d’étouffer le vent de magie qui soufflait sur le premier épisode. Moins enfermée et linéaire que son aïeul, plus variée sur le plan artistique et plus généreuse aussi, cette suite peine malheureusement à créer un tout cohérent, lisible et capable de s’adapter aux envies du joueur. Par l’inconstance de son level design extérieur, le jeu brime trop souvent les élans libertaires et prend des airs de monde ouvert sur rails, où les choses se font ainsi et pas autrement. L’aborder sans le fameux GPS magique, c’est l’assurance de chutes à répétition...

Référence : 07/06/2016

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Mirror's Edge - PC

Un prêté pour un rendu. Pour chaque défaut majeur évacué par DICE entre Mirror's Edge et sa suite Catalyst, le studio suédois en crée accidentellement un autre, au point d’étouffer le vent de magie qui soufflait sur le premier épisode. Moins enfermée et linéaire que son aïeul, plus variée sur le plan artistique et plus généreuse aussi, cette suite peine malheureusement à créer un tout cohérent, lisible et capable de s’adapter aux envies du joueur. Par l’inconstance de son level design extérieur, le jeu brime trop souvent les élans libertaires et prend des airs de monde ouvert sur rails, où les choses se font ainsi et pas autrement. L’aborder sans le fameux GPS magique, c’est l’assurance de chutes à répétition...

Référence : 07/06/2016

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Gamekult.com

Passionnés de jeux vidéo mais insatisfaits du contenu que le web français leur proposait à l'époque, Kévin Kuipers et Clément Apap décident de lancer Gamekult.com en décembre 2000.

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