[Test] Metal Gear Rising : Revengeance

[Test] Metal Gear Rising : Revengeance
Partager
Dans l'industrie du jeu vidéo, comme dans toute industrie d'ailleurs, on s'observe les uns les autres. On observe d'un oeil curieux et attentif ce que fait la concurrence. On regarde ce qui fonctionne ou, au contraire, ce qui ne marche pas. Et puis on reprend les bonnes idées. Dans la presse jeu vidéo, c'est exactement pareil. Ainsi, quand Moguri de No Life, dans sa critique d'Anarchy Reigns (jeu également développé par Platinum Games), débute en introduisant le concept de zone de confort, on se dit que ça marcherait également avec ce Metal Gear Rising : Revengeance. Et cela pour plusieurs raisons. Tout d'abord, l'auteur de ces quelques lignes n'aime pas vraiment les beat'em all en général. Il a bien tâté d'Heavenly Sword, de God of War 3, de Bayonetta, et un peu de Devil May Cry aussi, mais rien n'y fait, ça passe pas. Ensuite, parce que la saga des Metal Gear a toujours donné dans l'infiltration. L'épisode Guns of the Patriots a même montré une certaine tendance de la série à s'encrouter dans le domaine. Et enfin, parce que c'est la première fois que Platinum Games reprend une licence déjà existante, avec son background, ses codes, et les attentes des fans qui vont avec. Et on peut dire que le studio de Tatsuya Minami s'attaque à un sacré morceau. En effet, la saga initiée par Hideo Kojima est connue pour développer un scénario complexe ainsi qu'un univers particulièrement dense et riche. Il faut dire qu'il a eu 25 ans pour s'étoffer. Tout ça pour dire que c'était loin d'être gagné, surtout après un développement aussi chaotique. Mais même en dehors de sa zone de confort, Platinum Games est capable de nous en mettre plein la gueule.

Lire le test sur PS3

Lire le test sur Xbox 360
19 février 2013 à 08h00

Par pattoune

Autres news...

Gribouillé par...

pattoune

pattoune

Ours savant

Davantage ours que savant, ce con n'a pas compris que l'hibernation c'est en hiver. Résultat, il reste cloitré dans sa grotte à longueur d'année. Ce qui arrange bien du monde. Mais ce n'est pas un mauvais bougre. Il est même plutôt drôle à l'occasion. C'est souvent à ses dépens mais chut, il faut pas le dire. Ayant été récemment rattrapé par l'eau courante et l'électricité, il est désormais en mesure, après avoir difficilement assimilé les bases de l'hygiène corporelle, de nous livrer tests, news et autres contenus enchanteurs. Il nous reste plus qu'a espérer qu'il ne lui vienne pas l'idée de faire prendre un bain à son PC... Trop tard.
Revenir en haut