Article du 22/10/2014
The Evil Within possède une technique de la dernière décennie, des graphismes parfois grossiers et un scénario plutôt moyen. Par contre, Shinji Mikami démontre sa maîtrise du genre avec des environnements déstabilisants, une ambiance malsaine qui donne un sentiment permanent dinsécurité, et à juste titre. Un coin trop calme, cela signifie un ennemi au prochain croisement, à coup sûr. Et bien non, lennemi en question narrivera que quelques minutes plus tard quand on la oublié ou arrivera par derrière en silence. Une réussite évidente, manquant certes de finition, mais une réussite tout de même.
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