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Casque VR Oculus Quest 2
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Si l’on achète un Oculus Quest 2, c’est en grande partie pour son système autonome où la détection ne nécessite pas l’installation de capteurs ou de caméras externes. Encore une fois, on sait le confort que c’est de simplement enfiler le casque sur la tête et partir à l’aventure directement. Bien évidemment, cela engendre des concessions techniques évidentes sur lesquelles nous reviendrons également. Une partie de la configuration du casque se fait via l’application Oculus de votre smartphone. L’achat de la firme ayant été fait par Facebook, il vous faudra également un compte sur le fameux réseau social pour vous connecter. Fort heureusement, les paramètres de sécurité et de vie privée sont bien gérés afin de ne pas trop mélanger vos affaires privées sur Facebook et vos sessions de jeu.
Toujours dans l’idée d’un confort et d’une utilisation immédiate du casque, le système « Guardian » est toujours indispensable, qui vous permet directement en utilisant vos contrôleurs d’esquisser un espace de jeu afin d’éviter de vous cogner les tibias dans vos tables basses IKEA. Il suffit donc de dessiner la surface disponible au sol pour pouvoir vous déplacer dedans sans contrainte. Pour ceux n’ayant pas beaucoup de place disponible, un mode « stationnaire » est également possible si vous voulez jouer assis tranquillement dans votre canapé. Le casque placera un dôme autour de vous dans lequel il vous sera possible d’agiter vos bras comme bon vous semble. Si d’aventure il vous arrivait de dépasser la limite « Guardian », le casque passe automatiquement en mode « Passtrough » et utilise les caméras pour vous montrer votre environnement réel. C’est extrêmement utile, surtout que vous pouvez passer en « Passthrough » à la volée, à n’importe quel moment, en tapotant le côté de la visière du casque (sur la droite ou la gauche).
28 décembre 2020 à 12h09
Par Lorris