Test de la ROG Xbox Ally X

Test de la ROG Xbox Ally X
Partager
Sur le papier, la batterie de 80 Wh donne le sourire. Dans les faits, elle donne surtout une marge de manœuvre. L’Ally X peut tenir correctement, parfois très bien, selon le jeu et le mode choisi. Sur des titres légers, avec un profil sobre, on peut enchaîner une belle session sans stress. Et c’est agréable, parce que sur ce segment, l’autonomie est souvent le talon d’Achille qu’on accepte en serrant les dents.

Xbox Ally

Mais dès qu’on demande à la machine de faire ce pour quoi on l’achète réellement, du AAA moderne avec une belle fluidité, l’autonomie redevient au niveau de celle d’un PC portable. Elle n’est pas honteuse, elle est dans la norme du marché, mais elle n’est pas miraculeuse. On peut tenir un trajet, pas forcément une journée. Et ça oblige à redevenir stratège : baisser un peu la luminosité, viser une limite de FPS raisonnable, accepter un compromis graphique pour gagner du temps de jeu. L'utilisation du remote play est également une solution viable à l'économie d'énergie sur le périphérique.


Là encore, l’expérience dépend beaucoup de votre profil de joueur. Si vous aimez optimiser, l’Ally X est une bonne copine : elle propose des réglages, des profils, des manières de trouver votre équilibre. Si vous voulez une console qui s’adapte toute seule, elle demandera parfois un effort.

À noter aussi : l’usage réel ne se limite pas au jeu. Sur un handheld Windows, il y a le fonctionnement en arrière-plan, les tâches invisibles, les mises à jour, les services qui vivent leur vie. Et ça peut peser sur l’autonomie perçue, parce que la machine n’est jamais totalement inactive.
17 décembre 2025 à 10h27

Par Lorris

Gribouillé par...

Lorris

Lorris

Fin limier du mot

Jean-Claude Van Damme au corps, Jean-Claude Dusse dans la tête. C'est parfois l'inverse.

Twitter : @Yolorris

Fiches liées

ROG Xbox Ally

  • Genre : Console / PC portable
  • Date de sortie France : En 2025
  • Développé par : ASUS
  • Edité par : Microsoft
Revenir en haut