Depuis mars 1996 et l’arrivée de Resident Evil premier du nom sur Playstation, on peut dire que la saga de Capcom n’a pas cessé d’être surexploitée et sur-rentabilisée. On ne pourra d’ailleurs pas s’empêcher de penser à une Santiag nauséabonde qui piétine et traîne dans la boue une série qui fut autrefois adulée par les fans, ou encore du beurre qu’on aurait étirée sur une tartine d’environ 37 kilomètres de long. Bref, Resident Evil : Operation Raccoon City arrive 16 années plus tard pour nous démontrer que oui, le survival horror est bien à moitié mort et que non, Resident Evil ne pourra jamais être autre chose qu’un survival horror.
Lire le test sur PS3Lire le test sur X360