Les Sims 4

Les Sims 4 - PC
PC
6 /10

Computer Games France

Article du 08/09/2014

On passe par deux stades en explorant ce nouvel opus : le premier est la découverte d’un monde un peu plus joli et plus lisse qu’avant, revenant aux premiers épisodes, moins réaliste que les Sims 3, avec une customisation un peu fun et de la gestion casual fortement inspiré des jeux sociaux du genre. Puis, pour un peu qu’on ne découvre pas la série avec cet épisode, une immense déception. La disparition du « monde ouverte », des piscines, d’options de création essentielles, des garages, d’objets indispensables, ou même du nombre de terrains disponibles. On a très peur de devoir attendre des DLC payants pour retrouver la totalité du contenu de l'opus précédent. Maxis semble avoir voulu faire un jeu un peu plus « réaliste dans le monde des Sims » et très communautaire, avec l’intégration bienvenue de la galerie online. Malheureusement, les fans n’y trouveront pas leurs comptes et les autres découvriront le jeu de la même manière que nous l’avions découvert, nous, il y a 14 ans.
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Gamekult.com

Article du 08/09/2014

Peut-on réellement ruiner une licence aussi juteuse et addictive que Les Sims ? Aussi étonnant que cela puisse paraître, c'est donc tout à fait possible. Avec Les Sims 4, Electronic Arts signe le même affront qu'avec le dernier SimCity. Si ce n'est ses qualités graphiques et son ergonomie repensée, ce nouveau volet constitue une ahurissante régression vis-à-vis de l'épisode principal des Sims 3, à tel point qu'il paraît difficile pour un joueur fidèle de la série de trouver un sens quelconque à cette plantade. Au final, tous les "oublis", du quartier ouvert aux motifs en passant par les bambins, font passer Les Sims 4 pour une version tronquée, horriblement incomplète. On est à la limite de croire que l'on essaie...
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Jeuxvideo.com

Article du 05/09/2014

On ne présente plus le concept des Sims. Initialement pensé comme un simple outil d'architecture, il est rapidement devenu un véritable jeu de gestion de vie dans lequel il fallait prendre soin des besoins essentiels de ses petits protégés(...)
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